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« Distant, distant, paro j'deviens distant. »
- Léna ! Ta été faire les courses ?
Assise sur mon lit devant mon ordinateur je ferme instantanément les yeux. Eh merde, pensais-Je. Je rouvre les yeux sur mon devoir de physique que j'allais avoir bientôt finis après deux heures de travails.
- Je vais y aller. - Tout de suite Léna je vais pas attendre de mourir de faim.
De faim ou en manque d'alcool, me hurlais ma conscience. Je me lève pour partir faire ses putain de courses que j'avais l'impression de faire tous les jours.
- Tu travail pas aujourd'hui. - Nan, c'est mon jour de repos, répondais-Je d'un air lasser. - Tu peu m'avancer ? J'ai du prêter de l'argent et...
Elle ce frottais les cheveux comme tous les jours quand elle me demandait si je pouvais lui avancer. Je lève les yeux au ciel et sortis de l'appartement. Elle m'avais hurler quelque chose que je n'avais même pas pris la peine d'écouter, j'avais l'habitude maintenant ça a toujours été comme ça depuis le départ de mon père alors que j'avais six ans et mon frère huit. Je sors de mon immeuble, des teneurs de murs étaient la, comme à lors habitude, d'un simple hochement de tête pour leur dire bonjour. J'apercevais les gars au terrain de foot qui visiblement m'avais repéré eux aussi parce que Lukas n'arrêter pas de hurler mon prénom.
- Tu viens jouer avec nous ? - Sans façon, j'ai des choses à faire, on ce vois plus tard. - Attend Léna ! Tu vas faire des courses ?
Je me tourne pour lui faire face tout en reculant.
- Bingo, dis-je en enfilant mon écouteur. - Attend on vient avec toi, intervenait Tarik.
Je lève une seconde fois les yeux au ciel.
- J'ai pas besoin d'être assister Tarik. - Je devais en faire aussi donc calme toi petite braise.
Je pouffe de rire en le regardant mettre son tee-shirts.
- C'est qui on sinon ? - Bah.. putain Igo ramène ton cul de salope la. - Ferme ta gueule deuspi j'arrive. Tarik soupire avant de reporter son attention sur moi.
- Ton devoir avance ? - Ouais quasi finis. Tu la pas commencer toi je présume ? - Il est a rendre dans une semaine tranquille. - Tout ça pour que la veille tu me supplie de te l'envoyer, je te connais.
Il passe son bras autour de mes épaules et m'ébouriffe les cheveux.
- Ta une bouille de bébé wallah j'vais te graille si ça continue. - Putain Tarik laisse mes cheveux tranquille, je me coiffe contrairement à toi. - Répète pour voir.