Chapitre XV

40 4 0
                                    

- Vous m'expliquez pourquoi je dois porter ... ce truc ? Demandais - je aux salauds que que me servaient de camarades. 

J'étais entrain de m'examiner sous toutes les coutures devant un grand immense. Je portais une robe noire vraiment courte avec un décoletté recouvert d'une dentelle sombre, alors que l'arrière de la robe laisser voir tout mon dos jusqu'au haut de mes fesse, également recouvert de cette dentelle.

- On te l'a déjà dit Jonhson ! Nous allons chez un démon qui organise une petite soirée et devons le tuer sans attirer l'attention. Et arrête de te plaindre c'est comme ça ! S'énerva Jason qui était derrière moi et qui me regardait par le mirroir. 

- J'aimerai bien t'y voir, moi, dans cette robe ! Me plaignai - je. 

- Oh non, Chérie, crois moi, elle te vas beaucoup mieux qu'à moi. Dit - il en me regardant de haut en bas avec un sourire pervers collé à son stupide visage. 

J'allais lui dire ma façon de penser à ce morveux, quand Adrian nous interrompit. Re devenant serieux, je mis des talons hauts d'au moins 20 centimètres, à savoir noirs avec une fermeture dorée sur le côté droit. Jason se posta devant moi, me donna une petite pochette dorée et me fit une petite révérence. 

- Je serai votre cavalier pour ce soir Mademoiselle. Me dit - il avec un sourire narcois. 

Je ne répondis rien et pris le bras qu'il me tendait. Les deux autres garçons nous avaient quittés pour qu'on arrive séparément à cette - foutue - soirée. Après avoir conduit pendant trente minutes en compagnie de Jason - que j'avais gentiment envie de pousser par la porte -, nous arrivâmes devant ce qui me semblait être un chateau. Je sortis délicatement de la voiture et fis un dernier hochement de tête à Jason, qui allait passer par la porte arrière, et entra en regardant de haut toutes les personnes présentes sur les lieux. Mon entrée ne passa pas inerperçu bien longtemps puisque je vis que tous les membres de la gente masculine avaient les yeux rivés sur moi. Puis tout à coup je sentis deux mains me tenir par la taille, je su sans même me retourner que c'était mon contrat. Jason, qui était au fond de la pièce les yeux rivés sur moi, me le confirma d'un hochement de la tête. L'inconnu - pas si inconnu que ça - qui était toujours derrière moi balada sa main droite sur ma cuisse droite. Au contact de sa main sur ma peau, je me tendis très légèrement, je ne devais en aucun cas laisser paraître mon mal être. Décidant d'entrer dans son jeu pour ne pas éveiller ses soupçons, je me retourna et colla ma poitrine contre son torse et mis ma tête dans son cou. Il caressait mon dos en descendant de plus en plus bas. Tournant un tout petit peu la tête vers la droite, après lui avoir fait un baiser dans le cou, je vis Adrian. Je passa mes bras autour du cou de ma future victime et tendit deux doigts pour dire à Adrian qu'on pouvait commencer. Ma victime essaya de me caresser les fesses, mais je me mis devant lui et lui tendis ma main en me mordant ma lèvre inférieure. Il me prit la main et je l'emmena avec moi dans le jardin et le fit s'asseoir sur le banc le plus éloigné de la résidence. Assis sur ce banc, il me regarda avec un mauvais sourire, je fis passer mes cheveux sur mon épaule droite et m'assis sur lui pour enfouir ma tête dans son cou. Après quelques baisers au creux du cou, je tendis ma main droite légèrement derrière lui. Jayden qui était alors juste derrière le banc, me donna une petite aiguille que je planta dans violemment dans le cou de ma victime. Je sentis qu'il se tendit sous moi et puis... plus rien. Il était mort. Bizarrement ça ne me faisait ni chaud ni froid de savoir que cette pourriture avait quitté notre monde par ma main. Je me leva, replaça ma robe correctement et passa devant Jayden. 

- Il faut que j'aille prendre une douche. Cette pourriture m'a tripotée. Dis - je avec dégout. 

Jayden marcha à mes côtés et passa un bras autour de mes épaules. 

- Pour ce que tu viens de faire, je te donnerai tout ce que tu veux, Darling.

Je souris à sa remarque. On rejoignit les garçons qui nous attendaient déjà à l'organisation. 

4&P.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant