petit mot n°216

16 1 1
                                    

Je crois que ce soir tu me manques vraiment,
Pas que tu ne sois pas dans ma tête les autres nuits,
Mais aujourd'hui c'est pire que d'habitude.

Enfaite, j'ai refais une crise d'angoisse,
Encore une oui, mais avant je t'envoyais un message, et tu m'appelais jusqu'à ce que je me calme.
Aujourd'hui j'ai dû apprendre à me calmer seule.

J'ai appris à n'avoir besoin de personne,
J'ai compris que tout le monde t'abandonne à un moment,
Donc il ne faut toujours savoir tout faire seule.

Mais quand j'ai senti les larmes continuer de couler après ma crise,
J'ai allumé une cigarette, mais rien n'y faisait,
Alors j'ai bu ma bouteille, pour essayer de penser à autre chose.

Mais rien ne fonctionnait, tout me ramenait à toi,
Je me suis sentie si seule,
Alors j'ai pris mon portable et j'ai relu nos conversations.

On parle de musique,
On se taquine,
On se fait rire.

Mais j'ai revu aussi nos petites embrouilles,
Les vents que je te mettais quand tu me parlais de tes sentiments,
Et ta volonté de me découvrir dans mon intégrité.

Malgré ça j'ai retrouvé les quelques promesses qu'on c'était fait,
De toujours faire passer l'honnêteté avant la fierté,
Et de toujours Être la quand l'autre va mal même si on ne se parle plus.

La première promesse, aucun de nous la tenue,
Je n'ai pas été honnête en ce que concerne mes sentiments,
J'ai mis trop de temps à les avouer,
Pour préserver ma fierté.
C'est en parti ce qui a tout gâché,
Mais toi tu m'as quitté Sans aucune explication,
Tu as fait le fier, mais tu n'as pas été honnête.

Car soit tu mas toujours menti, et tu ne m'as jamais aimée,
Soit tu ne t'étais pas encore détaché,
Car on ne peut pas se détaché en 1 jour.

Et en ce qui concerne la deuxième,
On ne la tiendra pas non plus,
Encore une fois à cause de notre Putain de fierté.

Je préfère continuer à faire mes crises seule dans ma chambre,
À avoir l'impression de mourir pendant de longues minutes,
Plutôt que d'avouer que j'ai besoin de toi,
Donc tu ne seras plus jamais là pour moi.

Et tu préféras enchaîner joins sur joins,
Que de tapper mon numéro sur ton téléphone,
Pour me demander de l'aide.

Relire tous ses messages,
Ça ma fait mal,
Mais en même temps,

J'ai pu réalisé que notre histoire était vraie et sincère,
Qu'on s'est vraiment aimés et protégés,
Que l'on s'est aidés, et qu'on a fini par aller mieux.

Aujourd'hui j'arrive à me regarder dans le miroir,
Et dans mon reflet, il n'y a plus que des cicatrices bien refermées,
Alors oui je pleure encore, mais c'est n'est qu'une étape.

Et toi, je sais que tu as arrêté de fumer,
Je te vois sourire sur les photos,
Et je sais que je t'ai fais croire en l'amour avant qu'elle ne réussisse à te faire croire en la vie.

Alors on peut se dire qu'on s'est en parti guéri,
Mais notre histoire était comme chaque médicament,
Il ne faut pas le prendre trop longtemps.

Alors voilà,
J'ai écris beaucoup trop de textes sur toi,
Et j'espère que mon inspiration s'arrêtera la.

Je te souhaite d'être heureux,
Comme je me souhaite de t'oublier,
sans jamais oublié notre histoire.

mes petits mots 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant