-"Hé, le pédé, viens la que je te massacre ta tronche."
Henry Bowers, depuis qu'il avait avait découvert que Richie et Stanley sortaient ensemble il avait décidé d'harceler le bouclé et seulement le bouclé. Tout les jours quand il rentrait chez lui, Henry avait l'honneur de le frapper, tout les soirs Stan rentrait avait des bleus dans tout le corps.
Certes il avait mal partout dans le corps, mais la douleur la plus insupportable était la douleur mentale, savoir qu'il se faisait taper pour être lui même. Il n'en avait parler à personne, même pas à son petit copain. Parceque Stan était faible, il n'était même pas capable de se défendre, de faire face à cette saleté d'homophobe, il avait tellement honte de lui.
Alors, il restait dans le silence, tout les soirs il avait peur de s'endormir, tout les matins il avait peur que la journée commence et toutes les journées il avait peur que l'école se termine. Il vivait dans la peur.
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C'était la fin de cours, comme tout les jours les losers sortaient des cours. Alors Stanley, Mike et Richie faisait le chemin ensemble. Lorsqu'e les deux amoureux saluèrent Mike parceque ses chemins se séparaient, Richie prit la parole:
-"Stanley, j'ai remarqué tes bleus, tu vas me dire ce qu'il se passe?"
A l'entente de ses mots, le bouclé baissa sa tête, honteux. Richie n'était pas douer pour rassurer mais il essaya de faire de son mieux. Il invita son petit ami à passer la nuit chez lui, pour qu'ils puissent discuter.
Une fois chez le binoclard, le jeune couple s'installa sur le lit du noiraud. Un sourire rassurant, Richie posa sa main sur celle de Stanley et les enlaças ensemble.
Richie était le plus heureux des adolescent, il avait découvert qu'il aimait Stanley dés le premier jour de collège. Lorsque il avait découvert que le bouclé éprouvait les mêmes sentiments pour lui il ne put décrire l'explosions de sentiments qui a éclaté en lui.
Stan pris une grande respiration.
-"C'est Henry, depuis qu'il a appris pour nous deux il me rend la vie invivable. Richie, il me frappe tout les soirs, après les cours."
Le binoclard le regarda les yeux grands ouverts, il savait que leurs relation n'allait pas plaire à tout le monde, mais ne pensait pas que sa pourrait aller aussi loin. Il savait également que arrêter Henry Bowers était mission impossible. Il devait le faire c'était la seule solution pour que son bien aimé soit en sécurité.
-"Je pense qu'il vaut mieux arrêter là, je ne veut que personne te fasse su mal, encore moins si c'est moi la cause."
-"Non , s'il te plait Richie, je ne veut pas te perdre."
-"Stan, écoute, tu ne me perd pas, on reste amis, on sera toujours amis peut importe se qu'il se passe. On se sépare seulement, on a quatorze ans, peut être qu'on finira par nous retrouver ou peut-être qu'on trouvera mieux, mais pour l'instant c'est mieux pour nous."
Stanley savait que Richie avait raison donc il acquiesça de la tête et finit par enlacer son ami.
Une rupture c'est douloureux, surtout quand il s'agit d'une personne que t'aime vraiment, mais ce qu'il y a de plus douloureux dans l'amour c'est voir la personne que tu aime souffrir.
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-"Tu vas pas rester dans ta chambre toute la journée Stan, viens, on va se promener un peu."
Bill se retrouvait devant le bouclé faisant de son mieux pour sortir son meilleure ami de son lit. Cela faisait une semaine que Stan ne bougeait pas de sa chambre trop occupé à se morfondre sur lui même.
-"Non, je veux juste être seul."
Le brun soupira, il était hors de question de laisser son ami dans cet état. Il se mit alors sous les couvertures auprès du bouclé. Il mis la main dans les cheveux en bataille de Stanley et les remis en place délicatement.
-"Comment ta fait pour supporter ta rupture avec Beverly? Ta l'air si fort par rapport à moi."
Le brun lâcha un rire.
-"Je n'ai jamais dit que ça à été facile, je ne le montrait pas mais ça m'a fait mal, très mal. Tu sais Bird Boy parfois il faut juste accepter que quelqu'un parte et commencer une nouvelle vie sans elle. Regarde le bon côté des choses, malgré tout ça on est quand même tous resté amis. Sache que tu n'est pas seul, tu as: Beverly, Richie, Eddie, Ben, Mike et surtout tu as moi."
-"Tu as sûrement raison."
-"Bien sur que j'ai raison."
Le brun prit une peluche dans le lit de Stan est commença à faire parler la peluche.
-"Allons Stanley, ne sois pas triste tu sais que moi je t'aime."
Le bouclé fit un merveilleux sourire et commença à pousser Bill de manière à ce qu'il tombe au sol, ce qui finalement ce passa, les deux amis partirent dans un fou rire.
Tomber amoureux, cela peut vous paraitre incroyable mais tomber amoureux ne prend que dix minutes, dix petites minutes. Stanley Uris et Bill Denbrough étaient là depuis dix minutes et trente deux secondes, et leurs cœurs en avait profités pour crée se sentiment, l'amour.
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Forever Young - Stenbrough
FanfictionTomber amoureux, cela peut vous paraitre incroyable mais tomber amoureux ne prend que dix minutes, dix petites minutes. Stanley Uris et Bill Denbrough étaient là depuis dix minutes et trente deux secondes, et leurs cœurs en avait profités pour crée...