Chapitre 6: Destitution

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Ce chapitre est la suite du chapitre 4.

Bonne lecture!

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_ A ce sujet j'aimerais revoir le rôle de Dumbeldore en tant que tuteur magique d'Harry et si possible en changer, dit Freud.

_ C'est possible? demanda Harry.

_ Ça l'est, répondit le  gobelin, mais pour cela il faudrait soit que Dumbeldore soit jugé incompétent dans son rôle, ce que je pense n'est pas si impossible, soit qu'il désire donner sa place à une autre personne. Dans le cas où il serait incompétent la garde de monsieur Potter reviendrez au ministère à moins qu'on ne lui désigne un autre tuteur magique avant.

_ Pour cela maître gobelin j'ai la personne idéal, s'exclama Freud je pense que Remus Lupin serai le plus apte et en tant que parrain d'Harry il aurait dû l'être depuis le début.

_ Ce serai en effet le choix le plus adapté, accepta le gobelin.

_ Attendais, les interrompu Harry, depuis quand ai-je un parrain?

_ Et bien il est ton parrain depuis ta naissance, répondit Freud. Tu ne le savais pas?

_ Non, répondit doucement Harry, je ne le savais pas.

_ Oh désolé de ne pas t'en avoir parler j'avais oublié que tu ne pouvais pas le savoir.

Quel idiot, se traitra intérieurement Freud. Bien sûr qu'il ne le savait pas qui donc aurait même pu le savoir? Je suis presque sûr que même la population sorcière ne le sais pas. Je sais tellement de chose sur lui que parfois j'en oublie qu'il n'en connaît même pas la moitié.

_ Maitre gobelin je pense avec raison qu'Albus Dumbeldore a échoué dans son rôle de tuteur magique d'Harry Potter ici présent, dit Freud d'une voix sérieuse en désignant Harry. En tant que tuteur il était sensé introduire Harry dans le monde magique or quand j'ai rencontré Harry il n'avais aucune idée que la magie pouvait exister. Sa famille moldue n'était pas très encline à lui révéler sa nature de sorcier. Petunia Dursley, sa tante chez qui Dumbeldore à placé Harry, n'était pas en très bon terme avec sa soeur, la mère d'Harry, et on pouvait le voir dans la façon dont elle traiter Harry qui étais quand même moins pénible que celle dont son oncle et son cousin le traiter, tout ça pour dire que sa vie chez les moldus n'était pas des plus appréciables. Je pense que l'on devrait aussi retirer la garde d'Harry au Dursley chez les moldus.

_ Cela est amplement suffisant pour retirer à Dumbeldore ce rôle monsieur Stanley, concéda Grispec.

_ Très bien, aquiessa Freud. Pourriez-vous convoquer Remus Lupin S'il vous plait, demanda Freud.

_ Bien entendu, répondit le gobelin. Il sorti ensuite une chose qui ressemblait trait pour trait à un téléphone fixe moldu, il appuya sur un bouton et l'appareil à son oreille et demanda à la personne au bout du fil de convoquer Remus Lupin.

Se rappelant de la raison première de sa venue ici Harry interpela le gobelin:

_ Maîtres gobelins, ai-je des propriété?

_ Comme toute les grandes familles sang-pure les Potter possèdent plusieurs propriétés.

_ Y a-t-il une résidence incartable? Questiona Freud.

_ Il y en a 5 au totale, lui apprit le gobelin.

Il y a un manoir quelque part en Grande-Bretagne, au Japon, au Mexique, en Grèce et une île se trouvant dans le sud de la méditerranéen protégée par des barrières magiques et des sortilèges qui empechent les navires d'y accoster.

C'est résidence ne sont accessible que pour un Potter ou une personne autorisé par le lord ou l'héritier Potter si il n'y a pas de lord ou qu'il n'est pas en état pour d'accomplir ses fonctions.

_ Où veux-tu aller? Demanda Freud à Harry.

_ J'ai toujours rêvé d'aller sur une île, maintenant que j'en ai une je ne vais pas me priver, répondit le brun enthousiasme.

_ Ceci étant dit maîtres gobelin nous aimerions retirer de l'argent de nos coffres, dit Freud.

_ Dans ce cas, dit le gobelin en se levant, suivaient moi.

Il se dirigea vers une porte dans le fond de la pièce les deux humains le suivant.

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_ Tu es sur que je soit obliger de porter des robes? Demanda Harry gênait à l'idée de porter 'des habits de filles'.

_ Oui, il t'en faut pour tout les moments officiels et puis tu t'y feras vite ne t'inquiète pas, lui assura Freud.

Harry et Freud étaient chez madame Guipure sur le chemin de traverse. Y attendant l'heure du rendez-vous avec le parrain d'Harry autant faire quelque achat, Harry a grand besoin d'une nouvel garde robe.

_ Tu es sur que j'ai besoin d'une autre robe? Fit Harry après un temps de silence durant lequel il essayé robe après robe j'en ai déjà quinze tu sais...

_ En tant qu'héritier Potter, le coupa le blond, tu es dans l'obligation d'avoir une robe pour toute les occasions.

_ Okay, soupira Harry.

_ Prenez aussi un costume, s'exclama Freud à l'intention de madame Gruipure, prenez en même deux. Il faudrait aussi que l'on passe faire un tour côté moldu, se disait t'il à voix haute.

Harry soupira, plus jamais il ne ferai ses course avec Freud se disait-il.

En sortant de la boutique Freud tira Harry de magasin en magasin.

_ Freud? gémit Harry je ne sens plus mes pieds se plaignit-il.

En entendant cela Freud s'arrêta:

_ faissons une pause alors, dit-il que dirais-tu d'une glace ? 

_ Très bonne idée, accepta Harry.

_ Très bien assie-toi là, dit Freud en l'assayant de force sur un banc. Attend moi là ne bouge pas? il disparu dans la foule juste après.

Le brun attandais Freud depuis au moins 5 cinq bonne minutes, lorsqu'il vit passer un garçon qui devait avoir son âge avec des cheveux blond presque blanc, il était accompagné  d'un homme qui semblait être son père il ressemblait très pour trait à ce que pourrai ressembler l'enfant en grandissant. Le garçon tourna son visage dans sa direction comme si il s'était rendu compte qu'on l'observer, leur yeux se rencontrèrent pendant une fraction de seconde avant que le blond ne détourne le regard pour suivre son père qui allez dans la direction opposé. Harry le regarda un instant intriguer avant de voir Freud arriver du côté opposé.

_ Tient ta glace banane chocolat, il lui tendit un cornet.

_ Merci, remercia Harry.

_ Tient il est déjà seize heure trente nous risquons d'être en retard, s'exclama le blond en regardant sa montre.

Harry sauta sur ses pieds:

_ Allons-y!

Ils se dirigèrent ensemble vers la banque.

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J'espère que vous avez aimez
Je vous dit à la semaine prochaine

Moka~

Weird.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant