excusez moi de la qualité dégeulasse de ce chapitre, mais je n'ai pas le temps.. sincèrement, désolée. mais écoutez avec la chanson, le chapitre parraîtera moins à chier mdr.
Hôtel de Portland, 14h50
Cette odeur... J'humais discrètement son parfum. Ses bras serrèrent un peu plus ma taille, et il m'embrassa délicatement la joue. Je souris à son attention. Je posai ma main sur la sienne, et nos doigts jouèrent doucement ensemble. On resta à peine quelques secondes comme ça, avant que sa voix ne brise se silence.
-- : Bart m'a demandé de venir te chercher..
Queeny : Donc tu t'es dis que ça serait fun de me prendre par derrière comme ça, comme si t'allais m'écorcher vive?Son rire enfantin résonna dans la pièce. Je me desserrai de son emprise, et me retournai face à lui.
Queeny : Pourquoi tu ris comme un con, Aaron ("JLE SAVAIS" dans 3,2,1..)
Aaron : T'as dit "par derrière"
Queeny : Bouffon, roulais-je des yeux.Il me sourit innocemment, et m'embrassa, une nouvelle fois, sur la joue. Il me prit la main et on redescendit vers le hall de l'hôtel. Tout en entrant dans l'ascenseur on continuait à parler, comme à notre habitude. On rigolait vraiment bien ensemble. Une fois arrivé dans le hall, je fourrai ma main dans ma poche de gilet pour voir si mon téléphone était encore là. Il y était mais il n'y avait pas que ça.
Queeny : Euh, Aaron..
Il se retourna, et me sourit. "Oui?", je lui demandai de partir sans moi, étant donné que les VIP étaient juste derrière la porte au bout de ce couloir. Il m'a dit de ne pas traîner, et marcha en direction de cette porte.
Je me mis dans un coin plus reculé du hall, j'étais complètement à l'opposé de l'hotesse d'accueil. Je pris le papier plié qui était dans ma poche et commença à le lire.
"Hey mon amour, je t'ai écrit ceci bien avant de te le mettre délicatement dans une de tes poches. Tu sais, on ne va plus pouvoir s'appeler. Certains gars ont fait des conneries, donc on nous a interdit de pouvoir appeler 1fois/semaine nos proches. Ils ont fait le tour des chambre très tôt ce matin, et plusieurs téléphones ont été découvert, comme le mien. Enfin, celui qu'une infirmière assez mignonne m'avait filé. Donc on a fallit avoir le renvoie définitif, 12 gars et moi. Mais on est de trop bon éléments, donc on se levera à 4h tous les jours, et on aura nos exercices jusqu'a 12h. Non stop. Tu dois être en train de te foutre de ma gueule, bébé, mais il nous on sucré -à nous 13- nos vacances de février. On ne va pas pouvoir se voir avant un long moment, et comme t'as le magcon tour je sais pas quoi, et les cours, et moi le lycée hyper hard, ça va être chaud. Aujourd'hui était notre dernière journée ensemble, et c'est pour ça que je n'ai pas arrêter de te parler, je voulais pouvoir encore entendre ta voix, et voir ta bouille d'ange. Prévient Pey et Savanna. Tu vas horriblement me manquer malgré tout, je t'aime. Je t'aime plus que tout, tu es ma fierté."
Je relisais la lettre, une, deux, puis trois fois. Non, je ne bugais pas, on allait pas se voir. C'est grâce à cette petite date, ce petit 20 février, si j'étais encore bien. Je savais que j'allais le voir, je pouvais m'accrocher, et ne pas laisser tomber.
Ca peu parraître pathétique, mais le fait, de ne pas savoir quand allais-je revoir mon pilier, ma force, ce qui me maintenais stable, me donna les larmes aux yeux. J'avançai quand même vers la salle des VIP. Certaines fans criant mon nom, mais je les ignorai. Je cherchai Bart du regard, mais je ne le vis pas. Je m'avançais, sans me soucier des autres. J'étais dans mes pensée, j'avais besoin d'être seule. Je trouvai enfin Bart, et lui expliquai que je ne me sentais pas bien. Il me dis de retourner dans ma chambre, ce que je fis. Je repris le chemin, mais dans le sens inverse. Une main s'agrippa à mon avant bras, me coupant dans mon élant.
-- : Ca ne va pas Queenouille? je reconnu la voix de Gilinsky, je me retournai.
Queeny : Pas vraiment..Je pense qu'a la vue de ma tête, il comprit que je n'étais pas bien, et n'insista pas. Je remontai dans la chambre, en à peine 5 minutes. Je fouillai rapidement dans ma valise, et travai mon bonheur. J'ouvris la baie vitré, et allai sur le balcon. Je passai par dessus la rambarde. Mes pieds flottaient carrément dans le vide, mais je m'en fichais. Je pris appuis sur les paumes de mains, et m'assis sur cette dernière. Je contemplais la vue que m'offrais Portland (média).
Je pris en main mon joint, ainsi que mon briquette, et l'allumai. J'aspirai vivement, et recrachai doucement. Les grattes-ciels. Bizarrement j'aimais beaucoup ça. J'ai grandi dans la ville, et malgré tout, j'aimais énormément ça.
Cette petite lettre avait réellement provoqué un impact sur moi. Je ne pourrai pas tenir sans le voir. Ce n'est pas qu'un meilleur ami, non, c'est bien plus que ça. Un frère, un confidant, un ami, unb meilleur ami, un premier amour... Je ne l'aimais plus, en temps qu'amoureux, mais je l'aimais tellement fort, s'en était horrible. Ce mec était mon tout, clairement. Et j'aurai du mal, énormément de mal.
On me considère comme quelqu'un de fort, mais je suis comme tout le monde, ce n'est qu'un aparence qu'on se donne, un genre, une carapace, une protection. Nous sommes tous faibles et égaux. Le fait de prendre tout à la rigolade, de s'en foutre des insultes, de sourire et d'avoir la bonne humeur sans arrêt ne veut pas dire que nous sommes forts. Nous acceptons la réalité et l'interpretons mieux que les autres.
Je fumais, encore et encore, et je laissai mes larmes aller librement sur mes joues. Le vent frais de cet après-midi n'arrengait rien, il me piquait les yeux et me donnait encore plus envie de pleurer. Tout ce que je voulais, c'était quelqu'un, qui vienne tout de suite, me dire que ça ira même si c'est faux, me promettre de le revoir vite, même si j'entendrai. Je voulais juste cet hypocrite là.
J'inspirai encore le tabac, balançant mes pieds dans le vide, au rythme de mon humeur mossade. Je remis mon briquet, jusque là gardé dans ma main, dans ma poche de gillet. Ma jupe patineuse flottait dans le vent, et le bruit de mes talons sur les barre en fer, résonnait dans le vide.
Une trahison, voilà ce que je ressentais. J'en voulais à la terre entière que me prendre mon Zach. J'en veux à la terre entière de m'avoir pris ce type. Je sais que je le reverrai, je sais qu'il est en vie, je sais qu'il est là, pas loin, mais je ne sais pas. Le fait, rien que le fait de ne pas savoir quand et où allais-je le revoir, me mettais en rogne.
Le bruit de la baie vitré que j'avais fermée, pour ne pas qu'il fasse froid dans la chambre, me tira de mes pensés. J'espèrais sincèrement le voir. Le seul qui pourrait, rien qu'avec sa présence, atténuer mon air morose. Je me retournai, et fus un peu déçue. Lui fut surpris. Certainement que mon mascara avait coulé et que j'avais les yeux rouges, mais je tentai le coup.
Queeny : Tu veux être cet hypocrite qui me racontera n'importe quoi pour me rassurer? demandai-je en reniflant comme une gosse de 5 ans.
Il avança, et je fis un demi-tour, pour que je sois face à lui, tou en étant encore assise sur cette foutue rambarde. "Je veux bien".
Il me souleva avec facilité par les cuisses, et on rentra tous les deux dans la chambre. Je me serrai contre lui, aillant froid. Je sentis tous son corps frissonner à cause de ma froideur corporelle. Il me posa sur le lit, et s'assit en tailleur face à moi. Le brun me demanda de lui raconter.
J'explosai en larme sur son torse.
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MY SONG KNOW WHAT YOU DID IN THE DAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARK
queeny la fragile askip
je sais, j'ai fait le chapitre à l'arache, j'ai pas du tout eu le temps de le faire mieux. Mais je tenais quand même à mettre un point d'honneur sur l'importance de zach à ses yeux.
c'est qui le brun sur qui elle fond en laaaaaaaarmes?
demain c'est mon bulletin mdr, tuez moi.malgré ce chapitre merdique, ouais, je vous embrasse fort mes princesses.
luv.
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HACKED. (Magcon)
Fanfiction"J'voulais tuer le temps et rire un peu mais c'est parti en couilles" ___________________ tome 2 : CHANGED GHOST