2. Une Très longue journée

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On reste là sans rien dire. Et pour tout dire moi sa me saoul. Entre Granger qui me regarde de travers. Et l'autre rouquine qui se retient de rire j'ai envie de sauté d'un pont. Jusqu'au moment où mon téléphone me sauve. C'est Blaize qui m'envoie un message.

B : OH. Mec faut que tu vienne. Et vite.

D : Pourquoi ? De toute façon je t'ai dit que je peut pas.

B : Théodore et moi on a fait une connerie. Viens et je t'expliquerais.

D : Non. Dit le moi. Je peut pas venir.

B : Attend. Je t'appelle.

Au moins sa va me divertir. Car généralement leur bêtise c'est rien du tout, et en plus sa fait rire. Alors j'ai trouvé un truc a faire pour la mâtiné. Même pas une minute après que jai reçu le message de Blaize il m'appelle.

- Bon. Alors c'est quoi ta « connerie »

- Tu vois euh Théodore. Il voulait sortir. Mais son père était pas d'accord. Parce quil était encore une fois puni.

- Ouais. Et dis-je en essayant de deviner se qu'il veut me dire.

- Et ben On enfin Théodore à fuguer pour la journée et je lai aider.

- VOUS AVEZ FAIT QUOI ! Crié-je

Les filles se retournèrent en sursaut. Et je leurs lancèrent un regard noir. Je commence à paniqué, je repousse mes cheveux vers l'arrière. Et je fais les cents pas sur la terrasse.

- C'est officiel. Je vais vous tuez. Dis-je en plaine panique.

- AH. Quand même. Bouge de là Blaize ! Rend moi ce téléphone ! Bon on fait quoi. Mon père va me tuer. Demanda Théodore lui aussi paniquer.

- Petit un arrêter de vous disputer. Petit deux rendez-vous chez devant Granger. C'est là que je suis. jai pas eu le choix. Et après on verra. Un conseille transplanez.

- Euh merci. Sa on savez. Ce moqua Théo.

J'explique au filles ce qui ce passe et elle en reste bouche bée. Ginny la plus compréhensible des deux décide de me couvrir moi et Hermione. Sauf qu'au moment de passer le salon. On est grillé par ma mère. Hermione intervient en disant qu'on allait devant la maison voir mes amis. Qu'on avait appelé pour que je me sente moins seul. Qui est quelque part un peu vrais. En allant devant la maison les garçon son déjà là. Et sans surprise en train de se battre.

- Je vais vous tuez. Crié-je pour les calmer.

- Cest bon. On arrête. Dit Blaize en repoussant Théodore.

- Toi t'es conscient que ton père va te tuer. Rappliquer-je à Théo

- De toute façon il voulais me punir. Quand j'ai voulu sortir.

- T'as fait quoi pour être puni encore. Demande-je.

- Tu sais nos parent sont très respectueux en vers le seigneur des ténèbre. Et.. j'ai sans faire attention j'ai

- Accélère. Dis-je en m'énervant.

- Dit Voldemort. Finit le serpentard.

- Ah. Et bien se sera pire. Intervient Blaize.

Nous ricanons un bon coup. Sauf les filles. Qui nous regardent bizarrement, elles n'ont pas lair de comprendre pourquoi on en rit. Eh bien moi je dirais pour ne pas en pleuré. Moi et Théo font partit des enfants de mange-mort étant élever à la dur. Lui Blaize à toujours était un enfant Roi. Et bien pas moi. Il a bien de la chance. Pour midi nos mère nous emmène au restaurant. Mais au moment de s'asseoir tout le monde sempresse, sur les chaise. Et il ne reste qu'une seul place à coté de Granger je m'assoie à contre cur à la dernière place et nous commandons. Les garçons prennent un belle hamburger et je fait de même. Mais les filles ( Ginny et Hermione ) se la joue diététique en prenant une salade et nos mère prennent des moules frite au roquefort. Pendant le dîner je ne parle qu'avec mes deux meilleur amis. Ma mère autorise Blaize, Théo et moi à sortir dans la ville avant de le ramener. En fin de journée je pars avec Zabani pour emmener Théo chez lui en discrétion. Une fois partit nous entendions des cri. Le pauvre. Eh bien maintenant je nai plus qu'a attendre la rentré.

Si l'amour existe, elle en est l'histoire....Où les histoires vivent. Découvrez maintenant