LA GUERRE DE TROIE : Un conflit légendaire

Chapitre 8 : Vengeance

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Au conseil des grecs

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Agamemnon : Ils se moquent de moi à Troie, ivre de leur victoire ! Ils pensent que je vais faire voile dès demain, mais je n'en ferai rien.

Ulysse : Peut-être le devrions-nous ?

Agamemnon : Après une seule défaite, ce serait une honte !

Conseiller d'Agamemnon : Si les troyens peuvent nous vaincre aussi facilement dans combien de temps les perses vont-ils nous envahir ?

Ulysse : Si nous restons, nous devons le faire pour les bonnes raisons, pour la Grèce et non pas pour votre orgueil. Votre petite guerre privée avec Achille est en train de nous détruire !

Agamemnon : Achille n'est qu'un seul homme !

Ulysse : Hector n'est qu'un seul homme, voyez ce qu'il nous a fait aujourd'hui.

Agamemnon : Et même si j'arrivai à faire la paix avec Achille, jamais il ne m'écoutera.

Ulysse : J'irai lui parler.

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Au conseil troyen

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Alcathoos : Nous devrions contre-attaquer pour anéantir les grecs !

Hector : Hier, Achille et ses soldats n'ont pas combattu, il doit y avoir des discordances chez les grecs, mais si nous les attaquons, ils s'allieront à nouveau. Mon père, nos murailles sont épaisses nous les repousserons encore !

Priam : Soit, je te fais confiance mon fils, pour le moment restons en défense, nous attaquerons plus tard !

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Chez Pâris et Hélène

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Pâris : Tu dois certainement me prendre pour lâche !

Hélène : Pourquoi cela ? Tu as gagné le duel et vaincu Ménélas, tu es un héros !

Pâris : Certes, j'ai gagné mais de quelle manière ! Je l'ai vaincu grâce à mon intelligence liée à la peur !

Hélène : Cela ne me dérange pas, quand comprendras-tu cela ? Je ne veux pas d'un héros mon amour, mais simplement quelqu'un qui m'aime avec qui vivre !

Quelques jour passèrent, des renforts grecs étaient arrivés, formant une nouvelle armée d'environ trente-cinq mille soldats, les grecs de nouveaux en surnombre, s'apprêtèrent à lancer un nouvel assaut. Mais à Troie, Hector a opté pour une nouvelle stratégie assez risquée, il met en place des barricades avec quelques archers, mais surtout avec des hommes tapis dans l'ombre prêt à surgir au moment opportun. Le reste des archers étaient sur les murailles, de plus, il divisa son armée en trois ; une partie devant les murailles et les deux autres cachées sur les côtés formant ainsi un piège. Encore une fois sans Achille mais avec son meilleur ami Patrocle, les grecs lancèrent l'assaut, la stratégie était risquée, elle pouvait faire gagnée Troie comme la faire perdre. Les grecs foncèrent tête baissée dans le piège, en effet les grecs pensaient que la majeure partie de l'armée troyenne s'était retranchée dans les parties supérieurs de la ville en cas d'invasion. Ils étaient face aux troyens, ils étaient bien plus nombreux, mais la confiance des troyens rendait perplexe Ulysse, qui se demandait où étaient les autres soldats. Les grecs étaient devant les murailles de Troie, mais le piège se referma sur eux, les grecs virent arriver le reste de l'armée troyenne sur les côtés, ils étaient encerclés, des milliers de grecs tombèrent instantanément, Hector décima les soldats d'Achille, près de quinze-mille venaient de mourir en quelques instants. L'affrontement se termina, lorsque Patrocle défia Hector en duel. C'était déséquilibré, Hector dominait, en effet la fougue et la jeunesse de Patrocle le désavantageait ; il ratait beaucoup de coups et s'épuisait, alors qu'il ratait le coup de trop, Hector lui trancha la gorge, voyant la souffrance de Patrocle, Hector eut pitié et l'acheva, en ordonnant ensuite à Ulysse de repartir avec ses troupes et qu'ils avaient assez combattu pour la journée, Ulysse acquiesça. Les troyens avaient à nouveau gagnés une bataille très importante, la guerre allait bientôt terminer à son terme.

Hey, comment allez-vous aujourd'hui ?

J'espère que vous avez appréciez la lecture de ce chapitre, et à demain ! :)