Apprendre à un Double-face désespéré à vivre [TODOBAKU : TOME 2] (TERMINER)

ℂ𝕙𝕒𝕡𝕚𝕥𝕣𝕖 𝟙𝟚

Lorsque Katsuki se réveilla, Shoto dormait toujours. Le blond regarda le réveil sur la table de nuit à côté, qui indiquait 10h. Il se leva du lit en prenant garde de ne pas réveillé son petit ami et se rendit à la cuisine (parceque même si 10h c'est tard pour un petit déjeuner, le petit déjeuner c'est comme le goûter : sacré).

Donc, une fois arrivé à la cuisine, il trouva Touya. Ce dernier plissa les yeux lorsqu'il vit arriver le blond.

-T'es toujours là toi ? Demanda il avec un air suspicieux. T'as dormis avec Shoto ?

-Ouais... Répondit Katsuki, ayant un peu peur de la réaction du plus vieux, tout en se préparant un chocolat chaud.

-Et... Vous avez fait... des choses ? Continua l'aîné des Todoroki.

Le blond rougit et s'étouffa avec son chocolat chaud.

-Non ! S'empressa il de répondre. Non ! Bien-sûr que non ! Tu dormais à côté ça aurait était carrément glauque !

-Qu'est ce qui aurait était carrément glauque ? Demanda Shoto en arrivant dans la pièce.

Apparement il était réveillé. Il avait la tête... Comment dire ça... Et bien on aurait dit qu'il s'était coiffer avec un balais.

-De rien. Répondit précipitamment le blond.

-Katsuki disait que ce serait chelou que vous fassiez des trucs alors que je dors juste à côté. Expliqua Touya sans aucune gêne.

Et les deux jeunes garçons rougirent instantanément.

-Bon, je vais y aller moi hein. J'ai du boulot. Fit l'aîné en sortant de la pièce (et de l'appartement), laissant les deux garçons dans un silence gênant.

L'un comme l'autre ne savaient ni quoi dire ni quoi faire. C'était pire que gênant.

-Je vais rentrer chez moi. Finit par dire Katsuki.

-Ok... Fit Shoto, qui semblait vouloir dire quelque chose de plus mais qui se retenais.

-Y'a quoi ? Demanda le blond.

-Rien rien. Je réfléchissais... Murmura le bicolore.

-Et tu en est arrivé à une conclusion qui est... Continua Katsuki, qui voulait vraiment savoir ce que son petit ami semblait décider à ne pas lui dire.

-Et bah... Commença le bicolore, hésitant. Je me demandais si je te devais te proposer de te raccompagner, mais je me disais que ce serait carrément gênant ou alors que tu me trouverais carrément collant.

Katsuki se mit à rire, ce que Shoto ne comprit pas vu l'expression d'incompréhension totale qui s'afficha sur son visage.

-Tu réfléchi trop. Expliqua le blond, toujours amusé par le comportement de son petit ami.

-Pardon...

-T'excuse pas ! S'exclama Katsuki, puis il prit la main de Shoto et le tira vers la porte. Bon, tu me raccompagne ou pas ?

-Oui oui ! S'exclama le bicolore tout en suivant le blond.

Ils sortirent de l'appartement de l'ainé des Todoroki (en le fermant, évidemment, et Shoto était tellement pas doué que c'est Katsuki qui dû le faire) et ils marchèrent jusqu'à chez Katsuki. Une fois arrivé devant chez le blond, les deux adolescent se dirent aurevoir et Katsuki rentra chez lui.

-KATSUKI BAKUGO. Fit sa mère, à peine fut il entrer. C'était qui ?

-Tu t'intéresse à mes histoire de cœur toi maintenant ? Râla le blond.

-Non je veux juste savoir avec qui mon fils a passer la nuit. Répondit sa mère. Et aussi si vous vous êtes protéger. Je veux pas être chiante mais...

-ON A RIEN FAIT ! S'exclama Katsuki, rouge tomate.

-Donc tu étais bien avec ton petit ami ! S'exclama la mère du blond.

-Comment tu peux savoir que c'est un mec d'abord ? Répliqua il, comme pour changer de sujet.

-Je vous ai vu dehors. Expliqua Mitsuki.

-Tu nous espionnait !

-Bah... T'es mon fils et puis t'étais juste devant chez moi, donc bon à un moment si je peux même plus regarder par la fenêtre... Soupira elle. Sinon c'était qui ? Je veux tout savoir !

-Calme toi la vieille ! S'exclama Katsuki, légèrement fâché. Et puis d'abord, c'est ma vie privée !

-Oui mais faut bien que je le connaisse si jamais tu l'invite chez nous ! Répliqua sa mère, comme si c'était évident.

-Tu crois pas que tu t'emporte un peu ? Intervint le père de Katsuki (oui, il existe, et oui, il a écouter toute la conversation c'est juste que comme personne n'en a rien à faire de lui, personne ne le remarque).

-LA FERME ! Firent les deux autres en même temps.

-On discute là ! S'emporta Mistuki.

-Sinon, tu crois pas que tu va un peu vite là, la vieille ?! Répliqua Katsuki, ignorant totalement son père (RIP Masaru, je peux pas dire qu'on t'aimes et que tu va nous manquer parceque c'est faux on en a rien à foutre de toi).

Mère et fils continuèrent à se disputer tandis que le père (qui va enfin servir à quelque chose) soupira, désespéré par sa femme et son fils et regarda par la fenêtre. Et comme par magie, un jeune garçon au cheveux bicolore (rouge et blanc) que je continuerai de ne pas nommer même si vous savez tous qui c'est.

-Chérie... Commença il.

-LA FERME ! Tu vois pas que je parle avec notre fils là ?! Répliqua elle.

Comme d'habitude le respect peut aller se faire foutre... Soupira intérieurement Masaru tandis que sa femme recommençait à s'engueuler avec son fils.
On sonna à la porte (sûrement le gars aux cheveux bicolore dont tout les lecteurs connaissent l'identité) et le père de Katsuki alla ouvrir et tomba nez-à-nez avec le gars aux cheveux bicolore dont tout les lecteurs connaissent l'identité qui semblait carrément gêné.

-Heu... Bonjour monsieur... Katsuki est là ? Demanda il tout bas.

-Il est juste là. Il s'engueule avec sa mère, mais t'inquiète dès que c'est finis il est à toi. Expliqua Masaru, comme si c'était tout à fait normale (ce qui l'était enfaite).

-Oh. Fit simplement le gars aux cheveux bicolore dont tout les lecteurs connaissent l'identité. Au fait je m'appelle Shoto Todoroki. Je suis...

-SHOTO ?! S'exclama Katsuki qui avait soudainement arrêter de se disputer avec sa mère et qui ne semblait pas vraiment ravie qu'il soit là.

-C'est ton petit ami ? Enchaîna Mistuki, comme si son fils venait de lui annoncer qu'il allait se marier.

-Je tombe mal peut-être ? Demanda le bicolore, carrément gêné.

-Oui ! S'exclama Katsuki.

-Non ! Fit sa mère en même temps.

Et Masaru (le père de Katsuki pour ceux qui aurait oublié) savait que ça allait partir en gros bordel.