Angerfirst

Chapitre 8 : Odeur de mort.

Mot de l'auteure : Bonjour,bonsoir, déjà, je comptais remercier toutes les personnes qui ont consacrés du temps à mon histoire (136 vues et c'est beaucoup pour moi !). Enfin bref ! Bonne lecture et à tout à l'heure !  Attention,ce chapitre contient des scènes qui sont déconseillés pour les plus sensibles d'entre nous,je vous conseille donc de passer votre chemin !

Willows se réveilla sous le regard bienveillant de son père. Il lui adressa un sourire de soulagement. Willows se redressa et prit un coussin avec elle.

- Comment tu te sens ? Dit-il,un peu inquiet.

- Mieux,je crois. Dit-elle en souriant faiblement

Son père replaça une mèche rebelle derrière l'oreille de sa fille.

- Le commissaire m'a tout raconté,tu veut qu'on en parle ? Proposa t-il.

Willows se tût et hocha simplement la tête. Owen la regarda simplement,attendant qu'elle se décide tranquillement à parler.

- J'étais avec...avec Mary,on discutait quand j'ai vue quelqu'un au sol. Il s'est mit à pleuvoir et j'ai vue qu'il y avait du sang et...et puis,je me suis rendue compte qu'il n'avait plus de jambes,comme...comme-

- Comme Marty. Dit-il tel une révélation. Il se leva jetant un regard paternel sur sa fille.

- Quoi ? Où est-ce que tu vas ? Dit-elle en s'inquiétant.

- Je vais voir le commissaire. Annonça t-il en s'en allant.

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Owen sortit de chez lui et prit sa voiture. Il la démarra au quart de tour et fît crisser les pneus. Il prit la route vers le commissariat,la mine déterminé. Il se gara au place prévu à cet effet et sortit précipitamment de sa voiture,il se rua  l'intérieur de l'établissement et chercha des yeux le commissaire Walker. Le commissaire sorta de son bureau,dossier à la main,tenant un verre de l'autre.

- Commissaire Walker ! Dit Owen,essoufflé.

- Mr. Decker. En quoi puis-je vous aidé ? Dit-il,absorbé par son dossier.

- Ma fille,Willows,m'a raconté ce qu'elle avait vue et elle m'a fait part d'un détail important.

Le commissaire Walker ferma son dossier d'un coup et observa Owen.

- Dîtes moi ? Dit-il en posant son verre.

- Les jambes de la victime ont était sexionnés,n'est ce pas ?

- Oui,mais comment est-ce que-

- Qui est cette personne ? S'empressa t-il de dire.

- Mr. Decker,sans vous manquer de respect,je ne peux pas vous le dire. Pour des raisons de vie privé.

- Si vous souhaitez savoir ce qui est si important,dîtes moi qui est la victime.

Walker soupira et regarda autour de lui.

- Mr. Decker,ce jeune homme n'a pas encore été identifié. Venez avec moi,si vous souhaitez tellement savoir qui il est. Ricana t-il.

Owen et le commissaire sortirent ensemble,sans un mot,du commissariat et montèrent dans le véhicule de police.

- Vous m'avez donc menti, Mr. Walker ?

- Oui et en quoi ceci vous dérange ? J'ai autant envie que vous de résoudre cette enquête, Mr. Decker.

Ils arrivèrent devant un bâtiment gris sombre,assez grand. Deux ou trois camions de pompiers était garés au devant,sur les places prévus à cet effet. Owen et le commissaire entrèrent dans ce bâtiment sombre et inconnu. Des brancards était au sol supportant ce qu'il semblait être des humains,caché par un linceul. Owen comprenna donc et jeta un regard de dégoût à son camarade, ils étaient dans une morgue.

Walker poussa une porte et laissa entrer Owen en premier. Une atroce puanteur sortit des casiers accueillant les récents pensionnaires de la morgue. Owen et le commissaire cherchèrent le dossier correspondant à celui dont ils recherchent l'identité. Ils s'arretèrent au récent dossier posé la veille. Ils se regardèrent d'un coup,sachant qu'ils étaient tombés sur le bon. Ils cherchèrent le numéro du tiroir où repose le corps. Owen chercha d'autres informations sur le jeune homme. Walker,de son côté ouvra le casier.

- Quel horreur.

- Commissaire,refermez de suite ce casier ! Dit Owen,se couvrant le nez.

- Je dois résoudre cette enquête ! Laissez moi tranquille,voulez vous ?! Dit-il,agacé.

Owen roula des yeux et lit le document.

- Mr. Decker ! Pouvez-vous me dire où est le casier de Marty Andrew ?

- Quoi ? Marty Andrew ? Le 221.

Walker ouvrit le casier et compara les deux corps. Il sortit un calepin et écriva des notes.

- C'est Jonathan Mccoins. Il avait 17 et allait sur ces 18 ans,pauvre gosse.

- Bon... Dit le commissaire brusquement en fermant son calpin. Je crois qu'il serait tant d'y aller.

Owen acquiesça et les deux hommes s'en allèrent.