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Partie 🔞

Ce chantage affectif me contrôlait clairement.

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C'était le jour J.

« Psy - le jour j?

- Le jour où je ne pouvais plus supporter tout ça. »

J'y suis allée, tremblante... je savais pas ce que je faisais enfin je n'étais pas sûre... j'ai monté ces escaliers qui me rappelaient ce que j'avais pu faire... j'étais angoissé... mais j'y suis allé.

« - Tu n'étais plus maîtresse de toi même.

- Je crois que j'étais aveuglé.

- Non tu étais seule.

- Ça me hante...

- C'est certain qu'auparavant tu as eu des traumas qui t'ont mis dans la tête qu'il fallait tout faire pour être aimé quitte à faire des choses contre ta volonté.

- Contre ma volonté ... »

Je suis arrivé devant sa porte, il m'a ouvert... et a l'intérieur il faisait sombre, aucune lumière, tout les rideaux étaient fermés. Mon instinct me criait de partir en courant et mon coeur me disait que j'allais finir seule si je ne restais pas.

J'étais dans sa chambre sans même m'en apercevoir. J'y étais plantée au milieu et lui dans le lit.

Mais je trouvais bizarre certaines choses, malgré l'obscurité je distinguais certains détails.

C'était une chambre de fille.

Il y avait une coiffeuse, les draps étaient roses, il y avait un rangement maquillage.
C'était pas sa chambre et je n'ai rien dit.
J'étais comme piégée.

"- Tu viens dans le lit ?"

J'arrivais pas à parler et je tremblais.
Pourtant je l'ai rejoins...

Il s'est mis à me toucher et m'embrasser. Ça me dégoûtais, je ressentais aucune attirance, aucune envie. Il continuait, ses mains se posaient partout sur mon corps et j'arrivais pas à bouger.

Il s'arrête.

"- Suce moi !"

Pas de question, un ordre que j'exécute.
Plusieurs fois, je sens que je vais vomir, sa remonte, sa remonte et sa remonte...
Il appuie sur ma tête pour que ça aille plus loin.
Il me demande pas et je dis rien, j'accepte.
Il m'étouffe, il l'enfonce, je veux vomir donc je m'arrête.

J'ai les larmes qui montent.

Il me regarde et me déshabille.

"- Maintenant met toi à quatre pattes.

- Pourquoi ?

- Tourne toi et met toi à quatre pattes"

Je dis rien et j'exécute.
Il met de la dexeryl sur son penis.
Je me retourne parce que la peur se présente et je m'affole.

Chaque Épines étaient un PoisonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant