NEED YOU

17-Killer

Ça fait déjà un jour que je suis chez ma mère et c'est vraiment trop bien ma mère se comporte en mère exemplaire et elle travaille ça change vraiment. Avec Alice tout roule comme sur des roulettes enfin plutôt comme sur les roues de nos skates. Je suis dans ses bras et ma mère est parti travailler depuis une bonne heure.
- on peut peut être aller chercher de quoi faire un bon repas ce midi, pour ta mère ?
- oui c'est une bonne idée, tu pense à quoi?
- hum, lasagne ?
- super. Je commence à me lever.
- je vais acheter ce qu'il faut et toi reste là à préparer un gâteaux, il y a tout ce qu'il faut dans le placard. Encore un gâteaux, on a manger que ça depuis hier si ils veulent me faire grossir bah c'est bientôt gagner!
Elle m'embrasse puis ouvre la porte.
- reviens vite, je t'aime!
- je t'aime aussi !
Elle pars et je me décide à préparer ce foutu gâteau. Hum un gâteau au chocolat devrait être suffisant elles aiment toutes les deux beaucoup le chocolat.
J'ai mis le gâteau en route mais toujours pas de nouvelles de Alice ça fait bien une heure qu'elle est parti mais où est elle bon sang!
Ca fait deux heures.
Trois heures.
Et quatre. Je commence à vraiment m'inquiéter ma mère est revenues et on est parti à la recherche d'Alice.
Ca fait maintenant un jour qu'elle est introuvable et je n'arrête pas de la chercher, je panique vraiment et on a appeler la police et ils ne peuvent rien faire parce que ça fait pas encore 48h! Ça m'énerve je pète un câble monstre et je n'arrête pas de pleurer et de la chercher. Peter, Mark, Jason et Clary m'aident à la retrouver.
Mais où est-elle...?

Alice:
Je ne sais pas où je suis, il fait noir, mes mains et mes pieds son liés par je ne sais quoi, je commence vraiment à paniquer. J'étais tranquillement en train de faire les courses puis plus rien seulement du noir.
J'entends des pas s'approcher de mon emplacement alors je me tend et ma respiration devient plus saccadée.
- alors, ma jolie, tu te souviens de moi ? Sa voix est cinglante.
Je me tend encore lorsque j'entends la voix de mon agresseur.
- aller répond, saloppe!
Je répond toujours pas et je sens un coup partir dans mes côtes puis encore un autres et ça part dans tout les sens, sur mes joues même mes jambes.
- c'est bon, arrêtez...
- tu veux qu'on arrête, hein?
- oui...
- t'es parents avaient qu'à donner le frics, saloppe! Un coup de pieds part dans ma mâchoire et je tente de respirer convenablement.
Je connais les histoires de mes parents, ils devaient de l'argent à un type louche celui même qui est en train de me tabasser, au bout d'un moment mes parents ne lui avait pas donner leurs argents et il est venus chez
Nous alors que mon frère et moi étions Censé dormir mais ce soir là j'avais entendus du bruit et j'avais descendus les escaliers. Je l'avait vus tuer mes parents sans scrupules, je n'arriver pas à crier et ils sont partis en emportant les corps de mes parents. Je n'est jamais rien dit à personne même pas à la police. Ils ont dû nous retrouver et se sont dit qu'on pourraient leur donner leur argent.
- combien...? J'ai du mal à parler.
- 100 000 Dollars.
-...
- T'as intérêt à nous les donner, connasse!
- je pourrais pas...!
- qu'est-ce que tu dis!?
- je ne pourrais pas, jamais! Il retire mon bandeau et me détache en me poussant violemment par terre, je regarde autour de moi. C'est un garage, il y a deux trois trucs dedans et je repère un outil je me rapproche de lui sans montrer ce que je veux.
Il arrache mes vêtements alors que je me débat en criant.
- tu vas morfler, gamine!
Ma tête me tourne et ses sales mains viennent serre ma taille. Il commence a se déshabiller il se déconcentre de moi un instant et je prends l'outil et le frappe fort à la tête.
- je vais te tuer. Je me relève rapidement et il se jeté sur moi mais je l'esquive et il tombe parterre. Je me met sur lui et le frappe de toute mes forces, il se relève avec toujours moi sur son dos et je l'étrangle de derrière. Je l'entends suffoquer mais je continue. Au bout de quelques temps son corps relâche la pression et il tombe, raide mort.
Je...viens de tuer quelqu'un. Bizarrement ça me fait sourire.