NEED YOU

4-Kiss

Je n'avais pas remarquer lors de ce moment, mais elle aussi pleurait dans mes bras, elle était tellement discrète que je ne m'en rendis malheureusement pas compte. Ce qui est sûr, c'est que ce moment nous a lier à tout jamais, il a lier nos cœur, et inconsciemment j'espère être lier avec elle à tout jamais. Puis nous avons skater ensemble un certain temps sans jamais ouvrir la bouche pour nous adresser à l'une ou à l'autre, malgré le manque de son, nous étions dans notre bulle, seules face au monde cruel et ça nous plaisait mutuellement. Malgré que ce moment soit bien trop éphémère maintenant et, je suis réaliste, dans très peu de temps nous allons devoir avoir une bonne discussion et j'ai vraiment peur du dénouement de cette fatidique discussion.
En ayant le profil insta de Peter je lui demande celui d'Alice.
Il me le donna en faisant une tonne de sous entendues qui m'ont fait rougir et légèrement espérer d'un avenir avec elle.
Je regarda son profil pendant au moins une heure, elle n'a pas vraiment mis de photo où elle est seule, mais il y a beaucoup de vidéos en rapport avec le skate, elle est vraiment magnifique, elle est tellement douée! J'espère un jour être capable de faire pareil.
Ce ne fut que le lendemain que je pris le courage de lui envoyer un maigre "salut". Mes yeux se fermèrent jusqu'à entendre une vibration provenir de mon téléphone, je pris bien trois minutes avant de m'empresser d'ouvrir cette application qui met bien des heures à s'ouvrir !
Elle me répondît un "salut !" Wouah, je n'aurais jamais crus que ces simples petite lettres pouvaient réchauffer mon cœur.
Je lui demande si on peut se voir au skatepark pour parler, cette fois je dois attendre beaucoup plus longtemps pour recevoir sa réponse et un faible "d'accord" fis irruption dans mon champ visuel. Je me prépare lentement d'un t-shirt noir avec un jean noir et de mes vans bleu, Avant de partir je pris une veste en jean violet pastel. Ma couleur préférée est, je pense que vous l'aurez deviné, le violet.
En passant devant le chambre de ma mère, une chose me glaça le sang: ma mère était au sol baignant dans une flaque de sang, son propre sang. Elle été la devant moi les yeux a moitié vitreux, entre la vie et la mort.

J'attend depuis maintenant quelques minutes en angoissant terriblement, ma mère est certes une vrai pourritures mais elle ne mérite pas la mort, personne ne mérite la mort.
Sous un élan de solitude, mes doigts se sont rapidement glisser sur le clavier de mon telephone portable en demandant à Alice de venir me rejoindre à l'hôpital.
Mes mains dans mes cheveux et ma tête baissée j'entends des pas pressés venir à mon encontre, mon corps de laisse cajoler par celui d'Alice.
- dis moi ce qu'il se passe, s'il te plaît...
- ma mère...elle a essayé de se suicider...
Je sanglote dans ses bras réconfortant.
- je suis désolée, vraiment.
Je suis restée dans ses bras jusqu'à ce que nous voyons arriver un médecin. Je me précipite vers lui en criant:
- s'il vous plaît, comment va-elle ?
- elle va survivre, elle a eu de la chance, elle ne s'est fais que des blessures superficiels et avec l'alcool elle était vraiment dans un sale état, mais vous nous l'avez donner à temps, vous avez sauver votre mère jeune fille, bravo.
C'est vrai que j'avais très vite réagi et que j'avais penser ses blessures, elle en avait vraiment partout, partout...
Il reparti et je reste dans les bras d'Alice encore un peu, avant que je me décide même si l'endroit n'y est pas propice d'avoir cette fameuse discutions que je redoute tant.
-Alice est-ce que tu veux bien me pardonner d'avoir essayer de t'embrasser l'autre soir, s'il te plaît. Je n'ose pas la regarder dans les yeux. Pendant au moins une bonne minute elle ne répond rien, je me sens vraiment bête sur le coup. Mais très vite je sens ses doigts fin glisser vers ma peau et relever mon visage.
- je ne t'en veux vraiment pas, parce que j'en avais autant envie que toi.
Son souffle s'abat sur mes lèvres et les siennes me font vraiment de l'œil, et si...
Dans un mouvement libérateur, elle écrase doucement ses lèvres sur les miennes avant de se dégager pour me sourire et, cette fois si c'est moi qui plonge vers ce fruit défendu dans un baiser qui est vraiment obsessionnel du aux sentiments forts que nous ressentons. À cet instant mon esprit ne pense à ma mère ou à tout les problèmes qui ont été ma vie un jour. Je me libère et mes lèvres s'écrasent avec ardeur, le baiser dure longtemps et c'est vraiment libérateur. Pour la première fois de la journée, Je rigole.
- j'aurais jamais crus embrasser quelqu'un dans un hôpital. Elle suit mon rire et je la prend dans mes bras.
- est-ce que tu veux bien sortir avec moi? Elle me sort ça et je crois rêver, malgré la situation très peu propice mon cœur tambourines vraiment plus que la normale. Je crois être resté trop longtemps à la fixé, tétanisé, car je la vois légèrement paniqué.
- bien sure, tu veux aller manger à la cafet' de l'hôpital ? Elle rigole et se lève avec un regard soulager en me prenant Le Bras pour nous diriger vers ce lieu tant attendus.