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Nth Room

La police a identifié 70 personnes et 15 000 noms d'utilisateur dans le scandale «Telegram Nth Room» .

La salle, qui distribuait de la pornographie illégale et mineure et une exploitation sexuelle cruelle des femmes , a depuis attiré beaucoup d'attention et a suscité la fureur de la nation en raison de la nature inhumaine du contenu. Au cours de l'enquête sur les transactions de crypto-monnaie des criminels, la police métropolitaine de Séoul a pu identifier 70 personnes qui ont envoyé les frais d'initiation à Jo Joo Bin et enquêtent sur elles.

Jo Joo Bin aurait fait installer trois portefeuilles numériques pour recevoir les frais d'ouverture de la chat room. Deux d'entre eux seraient de faux portefeuilles pour fuir l'enquête qui peut être trouvée via une recherche Google, tandis que le troisième portefeuille serait celui que Jo a personnellement utilisé.

Depuis l'enquête sur l'affaire en septembre dernier, la police a découvert un total de 15 000 noms d'utilisateur dans les salles de chat. La police a déclaré que cela ne signifie pas que le total est de 15 000, car les gens peuvent avoir emprunté / partagé les noms d'utilisateur. La police a fini d'analyser toutes les 20 preuves numériques obtenues lors d'une saisie, sauf deux, dont 2 des 9 téléphones portables. La police n'a découvert aucun élément utile à l'enquête sur 7 des téléphones portables et les 2 autres sont verrouillés et Jo Joo Bin ne coopère pas.

Bien que Jo Joo Bin ait reconnu ses crimes, il a refusé de déverrouiller les 2 téléphones restants et de jouer à des jeux d'esprit avec la police en promettant de déverrouiller les téléphones, puis en changeant d'avis.

Le président Moon Jae In a également promis que le gouvernement prendrait également des mesures énergiques sur la situation et a tenu des réunions gouvernementales privées privées sur la façon de résoudre ce problème et de punir les responsables de leurs crimes tout en resserrant les lois sur la distribution illégale de porno.

Pendant ce temps, les internautes et les célébrités ont exigé des sanctions sévères pour les responsables.