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Cho Joo Bin

L'administrateur principal de "Baksa Room" de Telegram , Cho Joo Bin a avoué qu'il y avait une célèbre idole et actrice parmi ses victimes dans le salon de discussion où des jeunes filles et des mineures ont été torturées et abusées sexuellement pour les membres rémunérés du groupe.

Cho Joo Bin a été remis au tribunal pour inculpation de tournage et de diffusion de matériel illégal, d'attentat à la pudeur et de comportement obscène avec des mineurs.

Selon un rapport exclusif, des photos d'une ancienne idole célèbre, Mme A et d'une célèbre actrice, Mme B ont été obtenues à partir du téléphone de Cho Joo Bin pendant l'enquête. Sur les photos, les deux célébrités ont posé avec le pouce et le petit doigt levé, ce qui était une pose de signature que toutes les victimes de la «salle Baksa» ont été forcées de faire. La police a déclaré qu'elle appelait les deux victimes à poursuivre l'enquête. En outre, la police a également obtenu des vidéos d'exploitation sexuelle de 3 pom-pom girls en possession de Cho Joo bin.

La police a ajouté que Cho Joo Bin avait tenté de viser de nombreuses célébrités célèbres. Par l'intermédiaire d'un travailleur social qui était complice de l'exploitation de la «salle Baksa», Cho Joo Bin a tenté de sécuriser les informations personnelles des membres du groupe de filles populaires, Mme C et Mme D également. Il a utilisé la même méthode pour tenter d'obtenir le numéro de téléphone d'une actrice célèbre, Mme E . Cho Joo Bin a tenté d'approcher des célébrités féminines en utilisant la même méthode qu'il a utilisée sur Sohn Suk Hee de JTBC , mais il a échoué. Il a été révélé que bon nombre des chiffres fournis par le travailleur social étaient incorrects. La police a partagé: «Il semble que Cho Joo Bin ait ciblé les célébrités parce qu'elles ont de l'argent, et il pensait que même s'il les arnaquait, elles n'en parleraient pas. "

Cho Joo Bin a fait l'objet d'une enquête pour avoir menacé 26 femmes à partir de mai dernier, filmer des vidéos pornographiques et les avoir vendues à des membres rémunérés de ses 38 chatrooms de télégrammes. Parmi les victimes figuraient 8 filles mineures. De plus, Cho Joo Bin est soupçonné d'avoir menacé Mme F (15) de lui faire circuler une vidéo filmée d'elle nue et de la rencontrer en personne pour commettre des actes d'agression sexuelle similaires. L'Accusation prévoit de mener une enquête corroborante concernant les accusations d'exploitation d'une organisation criminelle.