Le nom parle probablement de lui-même mais comme voir cette phrase dans les résumés des histoires sur lesquelles je clique m'énerve, je vais tenter de mener une description plus poussée.
Donc comme vous l'aurez compris, chers spectateurs inexistants...
Il se trouve qu'hier j'ai relu le tome un du Labyrinthe et donc que ce matin, dans l'absolue continuité des choses, j'ai tapé dans le moteur de recherche de Wattpad "le labyrinthe".
Cette action m'a ouvert les yeux sur une portion de l'univers que j'aurais préféré ignorer.
Déjà, j'informe mes ouailles que nous ne parlerons pas des UA (ou univers alternatifs) mais bien des fanfictions se déroulant dans le monde du labyrinthe.
Je ne sais pas si c'est très clair pour vous mais dans ma tête c'était le cas, et comme personne n'est là pour râler à l'heure actuelle je vais m'en battre les couilles et continuer à écrire.
Petit résumé, car je sais que dans mes (rares) lecteurs, certains n'ont pas lu Le Labyrinthe.
En gros un mec se réveille dans un ascenseur qui monte, sans aucun souvenir de sa vie d'avant. Il sait juste qu'il s'appelle Thomas. Au bout d'une demi heure l'ascenseur s'arrête et s'ouvre sur une immense prairie entourée de quatre murs gigantesques : le Bloc.
Dans cette prairie vivent une cinquantaine de garçons, et derrière les murs s'étend le labyrinthe, une structure immense dont les murs bougent toutes les nuits. Chaque soir, les portes du labyrinthe se referment, et chaque matin elles se rouvrent. En effet, la nuit, les Griffeurs, des espèces de trucs gros, informes et dangereux, sortent et se baladent dans le labyrinthe.
Les garçons qui vivent dans la prairie sont tous amnésiques, comme Thomas. Chaque mois, il en arrive un nouveau, amnésique lui aussi. Leur but est de s'échapper du Labyrinthe.
Pour le reste, je donnerais les détails plus tard.
Alors déjà.
Je tiens à attirer votre attention sur ceci :
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Je ne pense pas que l'air de famille entre tous ces résumés soit un effet de mon imagination.
Et ceux qui se ressemblent s'assemblent et sont clichés et Ô joie extrême, nous sommes dans un recueil de clichés.
