Bonsoir à tous et à toutes, j'hésite encore sur le thème de ce chapitre !
Disons que j'ai deux sujets intéressants, les flashbacks et les gens qui commencent leur histoire à la one again, sauf que j'ai actuellement pas la WiFi et que la liste de lecture est PUTAIN de réduite à deux histoires hors-ligne, j'ai pas de matière sur quoi travailler... Ui ui, moi aussi ça me gave.
On va donc partir sur les flashbacks \o/
Le flashback, cékoa :
J'estime avoir un public pas totalement con, mais il me faut du temps pour rassembler mes idées donc allons-y :
Un flashback, c'est un dérivé très moderne de la prolepse. J'ai la flemme de vous pondre une définition, donc voici ce que dit Mr. Google à propos des analepses :
"Une analepse ou retour en arrière est une figure de style. Elle correspond à un retour en arrière, au récit d'une action qui appartient au passé. Il consiste à raconter après-coup un événement. On peut également parler de flashback pour exprimer cette idée, mais le terme de flashback ne s'utilise qu'à propos de cinéma."
Ouais j'ai eu la flemme de retirer le gras. Je suis le genre de personne qui laisse les mots en bleu quand elle copie-colle Wikipedia (non je déconne je suis trop maniaque pour ça en vrai).
Sauf que non Monsieur Google, je vais bel et bien vous parler de flashback aujourd'hui \o/
Pourquoi ? Parce que les gens sur wattpad (et dans les bouquins clichés) convertissent exactement ce qu'ils voient à l'écran sur le papier. Un flashback, ce n'est pas raconter une histoire après coup, c'est la vivre, et ça implique par exemple l'utilisation du présent. Pour les plus neuneus d'entre vous, un exemple.Ce que j'appelle une analepse :
"Il était descendu à la cave, troublé par l'étrange silence qui pesait sur sa maison depuis son retour. Sitôt qu'il eût atteint le bas des escaliers de pierre, une odeur métallique l'avait frappé, aussi forte que désagréable. Craignant le pire, il s'était alors rué sur l'interrupteur, tâtonnant frénétiquement le mur froid, son cœur battant plus fort à chaque seconde. Le déclic libérateur s'était alors fait entendre, et la lumière stérile et artificielle avait inondé la pièce. Il l'avait trouvée vide de tout meuble, à son habitude. Pourtant, il restait contre le mur du fond une masse sombre et irrégulière.
Il s'en était approché, lentement, silencieusement, devinant sans accepter ce qui l'attendait de l'autre côté de la pièce. Un long hurlement bestial était sorti de sa gorge lorsqu'il avait reconnu, tâchés de sang, les visages de son père et de sa mère. Ils avaient été sauvagement poignardés, et sous leur yeux vitreux s'étendait le "S" de la vipère, ce serpent qu'il connaissait si bien. Il revit défiler devant ses yeux l'avertissement qu'ils avaient reçu quelques mois auparavant : "Pas de pardon pour les traîtres". Les bourreaux de la mafia avaient rendu leur jugement.
Grégory secoua la tête avec un soupir. Il ne servait à rien de ressasser ces mauvais souvenirs."
Et ce que j'appelle un flashback digne des meilleures histoires clichées :
"Flashback :
Il descend précipitamment les escaliers menant à la cave, alerté par le silence troublant de sa maison. Une désagréable odeur métallique le frappe, et les pires scénari défilent dans son esprit. Précipitamment, il cherche l'interrupteur de la pièce, tâtonnant à l'aveugle contre le mur froid. Soudain, le déclic se fait entendre, et la lumière envahi la pièce. La pièce est vide, à son habitude, excepté une masse sombre au fond de la pièce. Il s'en approche, sans un bruit, la respiration coupée.
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La SFFF, ou bienvenue à clichéland
FantasíaLe nom parle probablement de lui-même mais comme voir cette phrase dans les résumés des histoires sur lesquelles je clique m'énerve, je vais tenter de mener une description plus poussée. Donc comme vous l'aurez compris, chers spectateurs inexistants...