Une semaine plus tard, Maman Mariane est revenue de Dubaï. Dans le garage de la maison, son chauffeur Talla et le jardinier omar ramenèrent ses bagages dans le salon.
Au salon elle s'asseyait en soufflant très fort.Maman Mariane : Mes bébés, Maman est de retour venez vite.
Maty répond en venant : il y'a personne maman je suis seule ici.
Maman Mariane : comment ça, où est Bijou.
Maty : elle es partie je ne sais où depuis 8 jours maintenant.Sans le moindre scrupule maman Mariane répondit :
_hum elle va revenir, à moins qu'elle se fait héberger comme une sans domicile dans une des demeures de ses copines.
Maty : hakh!!! espérons qu'elle va revenir.
Maman Mariane : la maison n'est pas propre où est Fary aussi.
Maty : je ne sais pas peut être elle est partie avec Bijou.
Maman Mariane : hun!! C'est ça je vais chercher une nouvelle bonne.
Maty: mieux vaut maman.
Maman Mariane : bébé je t'ai amené un jolie cadeau de Dubaï.
Maty : je t'aime maman, la meilleure maman du monde.
Maman Mariane : prends le sac noir, tous ce qui ce trouve dedans t'appartient à toi seul. J'avais acheté des croquettes pour Bijou, mais elle ne l'a mérité pas. Prends tout.
Maty : hoo!! merci pour tout ma reine de maman.
Maman Mariane : t'inquiète mon amour, accompagne moi dans ma chambre je dois me reposer.À l'atelier de Mor Thiaw.
Fama était assise à la porte en limant ses oncles, Badou était parti à la mercerie pour acheter des outils pour coudre des habits. MOR se tenait devant la petite télé pour écouter les informations du 12h.
Soudain l'agent de la SENELEC apparaît il salua tout le monde et va directement sur le compteur pour l'éteindre.Mor Thiaw : mais grand aide moi s'il vous plaît, je vous ai demandé deux jours simplement pour pouvoir payez le courant.
L'agent : Moi je ne suis pour rien, c'est la direction qui m'envoie faire mon travail.
Mor Thiaw : ayez pitié de moi, les gens n'ont pas encore payé leurs commandes.
L'agent : je suis vraiment désolé, ce n'est pas mon ressort, parle avec la direction.
Mor Thiaw : Monsieur, monsieur, monsieur comment je vais travailler maintenant ?
L'agent : je ne sais pas, bonne journée.L'agent est reparti avec sa moto, aussitôt fama s'éclatait de rire, de moqueries. Elle prends ses bagages en rentrant.
Mor thiaw : mais fama tu vas où ?
Fama : chez-moi, puisqu'il n'y a pas de courant, pas de travail.
Mor Thiaw : bon vent, bon voyage, oussss!!!Au garage, Birame travaillait dure, la sueur au front, sourire aux lèvres en se taquinant avec ses apprentis.
Quelques minutes après Fary avec sa peur arriva en demandant de voir Birame.Fary: bonjour je demande Birame diop
L'apprenti : patron quelqu'un demande après toi.Birame : je suis là, venez par-là
Fary : j'ai remué ciel et terre pour te trouver.
Birame : d'accord de la part de qui.
Fary : je m'appelle fama fall, j'étais la bonne de chez ta tante Mariane.
Birame : han d'accord, c'est elle qui t'envoie?
Fary : non, Bijou m'avait parlé de vous et de Binette raison pour laquelle je suis là pour te parler. Je ne sais pas à qui me confier.
Birame : je vois.
Fary : je pense à 90% que Bijou est morte.
Birame : putain tu raconte quoi là, d'où tu tires ces conneries.
Fary : elle m'a raconté d'avoir entendu Maty se confier à sa maman en disant que Sophia avait tout manigancé pour envoyer Binette à l'hôpital. C'est elle la coupable et Maty l'a soutenu.
Birame : wawe wawe wawe, qu'elle salope.
Fary : du calme, le plus grave est que Maty insinue que Bijou à quitter la maison de son propre gré. Moi je n'y crois pas, Bijou n'est pas une personne poltronne. Ils ont fait quelques choses à Bijou. Peut-être même l'éliminer pour garder le silence.
Birame : tu as peut-être raison mais il nous faut des preuves, et j'espère que tu vas accepter de témoigner une fois au tribunal.
Fary : de plus la pelle dans le magasin est cassée. Et moi et le jardinier nous étions absents donc ces eux qui l'ont utilisé. Il reste à savoir pourquoi.
Birame : arrête un taxi entre temps, nous allons prendre Binette et Mansour ensemble nous rassemblons toutes ces informations avant d'aller chez le commissaire Diallo.Le temps que fary traversait la route pour arrêter un taxi, une moto rentra sur elle en toute vitesse. Fary nageait sur son propre sang. Les hurlements commencent de tous les côtés.
Mory( Black) avait payé son accolitte qui se faisait appelé le fantôme qui surveillait Birame tous les jours. Il a reçu l'ordre d'éliminer Fary et il l'a heurté méchamment.
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" NDAWTAL"
Historical FictionSYNOPSIS Depuis des lustres la société féminine sénégalaise vit sous les ordres d'une haute pression patriarcale. La religion et la tradition donnent à l'homme le privilège d'être celui qui donne les ordres. Mais certains s'en abusent beaucoup trop...