Chapitre 1: Le voyage commence

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Aucun combattant de L'Ordre n'a jamais vécu à VDNKH. Alors, pourquoi risquaient-ils leur peau pour sauver de parfait étranger ? Peut-être pensent-ils, comme moi ? que les Sombres constituent une menace non seulement pour cette misérable station oubliée de tous, mais aussi pour le Métro tout entier. Et même si leurs motivations restent chez moi un mystère, je ne puis m'empêcher de les admirer, Ils se fichent bien de la station dont nous venons, de nos croyances ou de notre régime politique. Seul compte à leurs yeux le fait que nous soyons des êtres humains en danger. Ceux qui rejoignent l'Ordre font serment de protéger coûte que coûte le Métro, dernier bastion de l'humanité. Certains d'entre eux ont encore l'espoir de triompher, mais la plupart pensent que nous sommes tous condamnés. Pourtant l'idée de baisser les bras et d'abandonner le combat ne leur traverserait jamais l'esprit ils perpétuent ainsi l'héritage des camarades de Hunter et je n'imagine pas d'honneur plus grand que celui de pouvoir les rejoindre.

Nos patrouilles qui s'aventurent dans les tunnels du nord subissant des pertes quotidiennes. Ces meurtres sont d'une sauvagerie dépassant tout entendement et nombre de ceux qui reviennent ont perdu la raison. Mais c'est pourtant en confiant cette mission à nos amis, nos voisins et nos proches que nous pouvons tenir les Sombres en respect. Quand nous ne serons plus assez nombreux pour repousser leurs attaques, quand ils arriveront à la station, c'en sera fini de nous. Il se murmure d'ailleurs que nous ne faisons que prolonger notre agonie, que nous n'avons aucune chance de nous en tirer. Mais Sukhoi, mon beau père est le chef de la station, il espère toujours un miracle. Il ne cesse d'affirmer que l'un de ses vieux amis, Hunter pourra nous sauver. Hunter appartenait à l'ordre de Sparte, une fraternité de combattant ayant juré de protéger le métro de tous les dangers qui le menacent. Aucune force au monde ne peut instiller la peur dans le cœur de ces hommes courageux...Du moins, rien ne le pouvait, jusqu'à l'arrivée des Sombres... La vie était dure dans les tunnels, mais c'était chez nous. La routine y était réconfortante toujours les mêmes visages jour après jour mais depuis que les attaques des mutants s'étaient intensifiées la peur régnait sur la station. Je venais tout juste d'avoir 20 ans... Et jamais je n'aurai pu imaginer ce qui allait se passer le matin ou l'ami de mon père adoptif, Hunter est arrivé à la barricade...

Tous nos efforts sont désormais concentrés sur la défense de notre station contre les Sombres, c'est êtres terrifiants, mystérieux, et invincibles

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Tous nos efforts sont désormais concentrés sur la défense de notre station contre les Sombres, c'est êtres terrifiants, mystérieux, et invincibles. Nous en presque oublié nos anciens ennemis, les Nosalis et les hurleurs. Sans Hunter ces créatures auraient déjà envahi notre hôpital. Je tremble à l'idée du carnage qu'ils auraient pu faire si Hunter n'était pas arriver une heure trop tard...Mais Hunter est arrivé juste à temps à VDNKH. J'aime à penser que la chance n'a rien à voir avec ça et qu'il s'agissait d'une intervention du destin. Et que c'est ce même destin qui a poussée Hunter à me désigner pour apporter son rapport à Polis. C'est vrai que je rêve depuis toujours visiter cet endroit qui n'est rien de moins que le cœur du Métro et de notre civilisation. Mais il a fallu que cette chance se présente alors que ma station a désespérément besoin de tous les combattants disponibles pour assurer sa survie. Ai-je le droit d'abandonner mon père adoptif et mes amis face au danger qui les menaces ? Ou est ma place ? A leur côté, sur les barricades, ou dans les stations lointaines ou Hunter m'envoie ? A défaut de réussir à trancher la question, je me prépare à mon expédition en espérant répondre ainsi à l'appel du destin. Hunter n'est pas revenu, pas évidant de trouver une excuse pour quitter la station et me rendre jusqu'à Polis, mais j'avais donné ma parole la caravane partait pour Riga le lendemain et ils cherchaient des gardes, alors je me suis inscrit...

     Hunter n'est pas revenu, pas évidant de trouver une excuse pour quitter la station et me rendre jusqu'à Polis, mais j'avais donné ma parole la caravane partait pour Riga le lendemain et ils cherchaient des gardes, alors je me suis inscrit

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C'était la première fois que je quittais la sécurité de ma station d'origine, ça me tracassait de ne pas avoir dit à mon père adoptif la vérité : Je n'allais pas rentrer directement après Riga mais Hunter comptait sur moi...


La vie dans le métroWhere stories live. Discover now