chapitre 2-Pouvoir d'hurler

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MARLÈNE MCKINDON CROYAIT au destin

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MARLÈNE MCKINDON CROYAIT
au destin. Pas que chaque chose n'était fait que sous une volonté divine. Mais plutôt que dans un certain sens, tout revenait à normal. Absolument toute chose finissait par être à la bonne place. Que si nous avions décidé d'aller à droit, la vie nous reconduiras toujours du bon côté. Qu'un soleil ensoleillé se transforme toujours en pluie torrentielle pour une bonne raison.
En observant les gouttes violentes frappaient les fenêtres semblables à des hublots en bas des murs de leur salle commune, la blonde se dit que cela ne pouvait faire que du bien aux fleurs grandissantes du parc.
Malgré sa déception, elle attrapa tout de même sa cape et décida de se dégourdir les jambes avant de reprendre son après midi à treize heures. Cela lui permettrait également de retrouver Marguerite. Introuvable depuis déjà deux longues heures.

Partout dans le château on pouvait entendre les gouttes de pluie fracassaient tous endroit atteignables. A l'habitude elle appréciait les averses comme cela, mais elle les préférait calmes et reposantes. Quand elle pouvait s'asseoir sur le rebord de son balcon chew elle et observait les fines et lèvres gouttes tombaient.
Cette fois-ci, le bruit était assourdissant. Le repos semblait impossible aux yeux de la poufsouffle. Elle s'efforça alors de marcher le plus vite possible pour atteindre le bibliothèque qui devait être plus calme que le reste du château. Car même le tonnerre se tairait devant l'horrible maîtresse de cet endroit.

Et elle était là, la tête plongée dans un énième manuel et en même temps sur son parchemin qui devait bien faire 120 centimètres à présent. Ses sourcils étaient foncés et sa bouche légèrement entrouverte, cela l'aidait à se concentrer.
Dans cette vision de sa meilleure amie, Marlène se dit qu'elle était profondément fière d'elle. Marguerite ne s'était jamais arrêté au apriori qu'on pouvait avoir d'elle. Elle avait balayé avec force toutes les choses qui auraient fait d'elle la petite sang-pur française et parfaite.
Elle avait renoncé aux soirées mondaines et aux galas assommants. Elle avait renoncé à son père et vivait à présent avec sa mère et sa grand mère en France.

Cela compliquait leur amitié durant l'été mais la blonde n'en avait que faire. Tant que son amie était heureuse, elle pouvait bien passer tout un été à s'ennuyer chez elle. Suite à cette longue et profonde pensée, elle se dirigea avec un grand sourire vers sa camarade qui venait de remarquer sa présence.

- Tu peux aller me ranger ce livre, s'il te plaît, chérie ? quémanda la brune en faisait la moue à Marlène. Comme ça, je peux finir mon devoir et on ira en cours.

Elle aurait préféré que Marguerite termine sa phrase avec une sieste, une lecture dans son canapé préféré ou même une partie d'échec dans leur salle commune. Tout sauf Histoire de la magie. Ce cours était d'un ennui mortel, c'est pourquoi lorsqu'elle attrapa le livre à ranger pour sa camarade, elle prévoyait déjà sa place pour dormir au mieux.
Elle vagabondait dans la grande bibliothèque de Poudlard dont elle n'avait ouvert que des romans ou contes de son plein gré. Elle n'appréciait cet espace que pour la tranquillité qu'il en dégageait. Mais cacher entre les étagères, elle se dit que ce n'était pas si mal de mettre ce livre au prochain espace qui se dégagerait. Et c'est ce qu'elle fit avant de taper dans ses mains, comme emplie de poussières.

1ÈRE DU NOM | 𝘛𝘖𝘔 𝘑𝘌𝘋𝘜𝘚𝘖𝘙Où les histoires vivent. Découvrez maintenant