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Aloïs : « Ilrit,j'étais flattée au début quand je voyais que tu te donnais corps et âme pour maintenir ce mariage. Mais je comprenais pas pourquoi autant de haine et d'acharnement envers Ray. Mais j'ai finis par comprendre en t'observant toi et tes manières de faire. Et tu devrais pourtant savoir que quand on aime quelqu'un on ne lui fait pas du mal Elena. On essaye de rendre sa vie meilleure et de surtout rendre cette personne heureuse. Ce n'est pas en l'harcelant et en l'a rabaissant comme tu le fais que tu réussiras à lui montrer que tu es..amoureuse d'elle.»
L'information met un drôle de temps avant de me monter au cerveau. Je me retourne vers cette dernière,elle fuit mon regard et recule même d'un pas. Elle est comme déstabilisée..dites moi que je suis en plein rêve.
Un grand silence s'en suit,personne ne prend la parole,moi parce que je suis choqué de ce que je biens d'entendre,Aloïs car il venait de parler et attendait impatiemment une réponse et elle..elle ne disait rien même pas un mot,même pas un démentit.
Aloïs : « Ray on y va dit-il en attrapant mon poignet.»
Elena : « Laisse moi m'expliquer dit-elle en s'approchant de moi.»
Je recule,regrettant aussitôt mon geste. Je n'aurais pas aimer qu'on me traite comme ça,que mes sentiments soit exposé au grand jour et que par dessus tout la personne que j'aime me rejette..ça été instinctive mais je n'ose pas imaginer ce qu'elle ressent à ce moment même.
Elena : « On se voit jeudi à la soirée événementielle dit-il a l'homme qui allait devenir son fiancé,salut.»
Elle s'en va.
J'arrive pas à y croire. J'aurais jamais penser qu'il pouvait m'arriver ce genre de chose dans ma vie. J'ai comme l'impression de rêver. Comment on réagit face à une telle révélation? Qu'est-ce que je devrais lui dire si je l'ai une nouvelle fois face à moi? C'est n'importe quoi.
Je me laisse traîner par Aloïs jusqu'à la voiture. Une fois dedans,je me retourne vers lui.
Raya : « C'est genre..absolument pas possible on est d'accord?»
Aloïs : « Si ça l'est.»
Raya : « Mais non,on se déteste elle et moi.»
Aloïs : « Tu l'a déteste dit-il. Je l'ai vraiment remarqué la fois au bureau quand t'es venu. Elle n'a pas arrêter de te regarder et même,parfois ça lui est arrivé de sourire quand tu ouvrais le bouche pour parler.»
