Il disait qu'il m'aimait. !!BIENTOT EN REECRITURE!!

34| Nouveau départ.

Deux ans et demie plus tard.

Les yeux aux bord des larmes j'acquiesce de la tête en acceptant sa proposition.

Ce n'était qu'une demande de fiançailles mais j'étais à cet instant la femme la plus heureuse. Il se lève et me prend dans ces bras.

Junior : On prendra tout le temps qu'il te faudra pour le mariage.

Je le serre dans mes bras, heureuse de cette demande.

Junior : T'es contente?

Jannina : Bien sûr que je le suis!

Junior : Je voulais encore attendre avant de te le proposer. Ça fait peut-être bientôt plus de trois ans que l'on est ensemble et avec tout ce que tu as traversé je me suis dit que tu n'étais pas encore guéri de tes blessures mais je voulais quand même tenter.

Je pose ma main sur sa joue que je caresse avec délicatesse du bout des doigts.

Junior : Tu m'aurais dit non j'aurais compris.

Jannina : J'accepte Junior. Je suis vraiment contente que tu me l'ai demandé, sérieusement.

Junior : Ça me rassure.

Un petit bisous avant qu'il ne me mette la bague de fiançailles au doigt. Elle était resplendissante.

Il prend ma tête entre ces mains et me fait un bisous sur le front puis me hisse vers le haut.

Les jours qui ont suivis nous avons d'abord annoncé la nouvelle à nos enfants chacun de notre côté. Les retours ont étés bon. Ils étaient tous ravis et encore plus nos parents quand nous leurs avons appris que nous allons nous fiancé.

Mes parents étaient tout de même inquiet de cette précipitation mais nous les avons rassurés que nous allions prendre le temps qu'ils nous faudrait.

Benjamin : Cette fois-ci tu auras un vrai homme à tes côtés, je n'en doute même pas.

Il m'a serré dans mes bras. Puis il a ensuite fait une accolade avec Junior.

Benjamin : Je sais que tu le fais déjà depuis bien longtemps mais prend soin d'elle.

Jannina : J'ai l'impression que je ne suis plus ta grande sœur mais t'a petite sœur en faite.

Benjamin : Tu l'es justement.

Je lui donne une tape derrière la tête. N'importe quoi celui-là.

Charmaine : Depuis qu'il est venu footballer professionnel il fait trop le grand.

Benjamin : Celle qui n'avait pas cru en moi.. tu as de la chance que tu m'aies acheter ma voiture pour mes dix-huit ans je t'aurais rien acheter !

Tracy : Vous êtes vraiment chien et chat vous deux.

C'est exactement ça. Ils s'aiment et se détestent.

Mon père : Viens là ma petite princesse.

J'accourt dans ces bras tel une gamine de cinq ans. Je lui fais un énorme bisous sur la joue.

Mon père : Je vais enfin pouvoir voir toutes les filles en robe et les amènes à l'autel.

Jannina : Tellement impatiente. Et tu m'emmèneras dans les bras du bon.

Mon père : Il est fait pour toi ce garçon.

Ça m'a émue. Je lui ai encore fait un gros bisous puis nous avons parler tous ensemble dans la bonne humeur.

[...]

À l'intérieur de la voiture j'attendais à ce que les enfants aient terminé leur rendez-vous avec leur père.