Episode 1 : celui ou il fais nuit

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Je me faisait secouer dans tous les sens, on cherchait à me sortir de mon sommeille, mais je n'en avait absolument aucune envie

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Je me faisait secouer dans tous les sens, on cherchait à me sortir de mon sommeille, mais je n'en avait absolument aucune envie. J'ai toutefois fini par tenter d'ouvrir les yeux quand j'ai perçu les fragments d'une conversation, mes paupières était lourdes et mes muscles endoloris. La lumière tamisée de ma chambre m'a surpris, je ne la laissait jamais allumer quand je dormais. Je comprenais en revanche pourquoi elle était allumée quand je me suis rendu compte que ma sœur, Leonie, se trouvais au pied de mon lit, le téléphone a l'oreille.

«— En sommes vous n'avez pas besoin de moi, a t-elle dit d'un air lasse. Mais de Rayleigh.

J'ai jeter un coup d'œil à mon portable et remarquer qu'il était tout juste quatre heure du matin, le calcul était alors vite fais. Pour appeler à une heure aussi tardive, ça ne pouvait être que nos parents. Et de toute évidence, ils avait besoin de moi. J'ignorais  pourquoi, cependant.

— Ouais ouais, j'ai compris, à continuer la tatoué de sa voix enrouée. On sera là dans cinq minutes, envoie moi t'es coordonnés.

Elle a passer sa main dans ses cheveux bruns en pagaille totale, puis elle a raccrocher sans plus de cérémonie. Elle est revenue en suite face à moi, puis s'est accroupie  à ma hauteur. J'avait une vue splendide sur la poitrine de ma sœur, Léonie portait toujours des vêtements qui dévoilait un peu trop son corps, au grand damne de mon père. Elle m'a mis une pichenette sur le nez, alors qu'un sourire se dessinait sur ses lèvres.

— Lève toi, les vieux on besoins de nous.

Je me suis redresser, frottant mes yeux pour essayer de sortir de mon état léthargique. Je soupirait en sortant de mes couvertures chaude, je n'avais aucune envie de partir enquêter à des heures aussi tardives, mais d'un autre coter, j'y étais suffisamment habituer pour ne plus m'en plaindre. 

Après être passer à la douche pour me passer la tête sous l'eau et me brosser les dents, j'ai ramasser mon sac de sport pour y mettre toutes sortes d'armes susceptible de m'être utiles, y compris des munitions , balles en argent ext.. J'ai mis par dessus le tas une pile de vêtements au hasard, puis j'ai quitter ma chambre en éteignant les lumières.

Dans le salon, ma sœur avalait la totalité d'une petite bouteille énergisante d'une couleur artificielle bien trop fluorescente, avant de s'emparer de quelques paquets de chips et de ses clés de voiture.


Nous roulions toutes deux depuis un moment, suivant le gps du portable de ma sœur, j'étais son co-pilote, et son DJ aussi. Sauf que ma sœur n'étais pas une grande fane d'ABBA, alors chaque fois que je mettais un morceau elle ruminait dans sa barbe. Léonie se faisait une joie d'appuyer sur l'accélérateur de la veille mustang de ma mère, elle lui avait offert le jour où Léonie avait eu son permis, et elle adorait pousser la voiture à son maximum. Moi, je me contentais d'essayer d'avoir confiance en elle, bien que son sourire au allures maléfique m'effrayait un peu par moment.

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