J'ignore qui je suis vraiment, tous ce que je sait, c'est que mes véritables parents sont mort quand j'étais très jeune. J'ai alors été recueillis par une famille peu ordinaire, et j'en suis devenue un membre à part entière.
Je les aimes, de tous m...
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Recroquevillé sur moi même, je n'avais pas remarquer que je m'étais cacher inconsciemment le visage derrière l'épaule de Khaul. Je tremblais comme feuille au vent, et mon cœur s'acharnait contre ma cage thoracique si bien que s'en était presque douloureux.
«— Hey, à souffler Khaul.
J'ai sentit son souffle sur le haut de mon crâne et j'ai péniblement redresser la tête et ouvert les yeux pour rencontrer son regard inquiet. Il a poser sa main sur ma joue, sa peau était toute chaude, c'était agréable.
— Tu a peur de l'orage ?
J'ai hocher la tête, incapable d'ouvrir la bouche puisque je serrai les mâchoires pour essayer de contrôler mes tremblements. Il ne s'est pas moquer de moi comme il aurait pu le faire, après tout j'étais adulte et j'avais une peur folle de l'orage, ça me paraissait si ridicule. Il s'est redresser et m'a pris la main pour m'emmener avec lui a travers le chalet, nous sommes monter à l'étage. Je l'ai suivis, docile comme tout, la tête ranger dans les épaules, je peinais à rester debout. Nous sommes arrivée dans une chambre, qui était bien trop en désordre pour être la mienne ou celle de Serena. Sous mon regard ahuris, Khaul a saisie l'ourlet de son t-shirt pour le faire passer par dessus sa tête.
Seigneur ! Son corps était-il entièrement remplis de tatouages ? Son torse et ses bras l'était en tout cas, et tout ces dessins semblait mettre en valeur chacun de ses muscles dessiner à merveille. Et d'où j'étais je pouvais voir qu'il avait des piercing sur chaque téton, j'aurai trouver ça un peu douteux d'ordinaire, mais sur lui je trouvais ça diablement sexy. J'avais chaud, d'un coup, et ma louve me hurlait de me jeter sur lui. Il s'est allonger sur le lit, et à tapoter la place à coter de lui. J'ai froncé les sourcils.
Quoi ?
— Allez, a-t-il dit en faisant un signe de tête.
Donc, il voulait vraiment que je le rejoigne.
— Quoi ? Non !
— Pourquoi ?
— On se connais à peine ! j'ai balbutier, croisant les bras sur ma poitrine comme une gamine.
— Je connais ton nom, tu connais le mien.
Il a hausser les épaules, comme si s'était évident. Comme si c'était suffisant pour que je passe la nuit dans le même lit que lui. A cette idée, ma louve était heureuse comme jamais et mon estomac me chatouillait.
— Mais..
— Allez Rayleigh, il m'a couper. C'est pas parce qu'on partage le même lit que j'vais te violer.
— Hm. Oui. Rassurant.
Comme si c'était la seule chose qui me tracassait.
— La présence d'un autre est rassurante lorsqu'on a peur, a-t-il expliquer. Alors bouge tes fesses et viens dans ce lit.
Un orage à de nouveau gronder dans le ciel, à en faire trembler les murs. L'idée de rejoindre une chambre qui n'était pas vraiment la mienne, qui n'avait aucune trace rassurante de ma famille ne me faisait pas vraiment envie.
— Ok, j'ai capituler. Mais tu ne te colle pas à moi ou quoique ce soit du genre.
Je me suis approcher du lit, le pas légèrement hésitant. Khaul a eu un sourire satisfait sur les lèvres.
— C'est bon t'es pas aussi irrésistible que ça.
J'ai rouler les yeux au ciel. S'il ressentait la même chose que je ressentais à son égard, je doutait de ses paroles. Je me suis glisser sous les couvertures, au plus loin de lui. Cependant quand un énième orage a gronder, encore plus puissant que le précédent, je me suis inconsciemment rapprocher de lui. Si bien que j'étais blottit contre son torse, aucune de mes mains n'était poser sur lui ou quoi que se soit, j'était simplement contre lui. J'avais besoin d'une présence, j'avais besoin d'être rassurer et la chaleur de son corps le faisait très bien. Il a eu un rire généreux et s'est tourner vers moi pour me prendre contre lui, entre ses bras puissant. Mon cœur s'est apaiser de peu, il n'était plus affoler par l'orage mais par la présence de Khaul désormais. Son torse chaud et dure était tout contre mon dos, et son souffle me chatouillait le haut du crâne. Son parfum épicé m'a fais papillonner l'estomac, et alors je me suis lentement laisser bercer par la chaleur de ses bras et par la douceur de ses gestes tandis qu'il caressait mon poignet de son pouce.
Je n'étais même plus gêner, j'avais l'impression que c'était naturel, habituel.
Je me suis endormie comme ça.
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A mon réveille le lendemain, il n'était pas loin de dix heure. Je ne pouvais pas dire que j'avais passer une nuit merveilleuse, parce que dormir avec un homme comme Khaul était compliquer. Il était large d'épaule, et de plus, il bougeait énormément pendant son sommeille, sa jambe s'était retrouver à plusieurs reprise sur les miennes et son poids mort n'était vraiment léger. Cependant, l'orage ne m'avais plus beaucoup perturber, elle s'était arrêter en milieu de la nuit. Jetant un coup d'œil par la fenêtre, je remarquais qu'il y avait un beau soleil et un ciel bleu aujourd'hui, et c'était temps mieux. A coter de moi, la place de Khaul était vide, je l'avait sentit partir tôt le matin. Il avait recouvert mon corps des couvertures comme on l'aurait fait avec un enfant, ce petit geste m'avais fait plaisir.
Je me suis redresser, étirant mes bras au plus possible en baillant.
— La belle au bois qui dort est réveiller apparement, à fait la voix de Serena qui passait dans le couloir et qui m'avait vue par la porte entièrement ouverte.
— Bonjour, ai-je dit alors que je papillonnais des cils pour ouvrir convenablement mes yeux collés par le sommeille. Où est ton frère ?
— Les gens comme nous travaillent aussi, tu sait, a-t-elle dit. Et Khaul travaille en ville alors il doit se lever tôt.
J'ai hocher la tête avant de sortir du lit, Serena est entrer dans la chambre, ramassant des vêtements qui traînait sur le sol pour les mettre dans une panière qu'elle tenais à bout de bras. Je suis aller ouvrir la fenêtre de la chambre en grand, pour l'aider.
— Mon frère est infernal, a-t-elle dit en soufflant. Si je ne vivais pas avec lui, cette maison serait une vrais porcherie !
— Les hommes sont tous les mêmes, ai-je soupirer.
C'était à moitié vrais. Parce que le bazar dans cette chambre m'avais fait penser à celle de mon frère, dans laquelle on ne pouvait même pas mettre un pied tellement il y en avait, heureusement la c'était moins pire.
— Raphaël ne travaille pas aujourd'hui, tu pourrait peut être aller le voir ? a proposer Serena.
— Hm ?
— Pour l'enquête.
L'enquête. Voilà que je l'avais presque oublier avec tout ça.
— Oh, oui ! Bonne idée. »
J'ai aider Serena a changer les draps , puis a faire le lit. J'allais vivre ici quelques jours alors c'était là moindre des choses que l'aider. Puis je suis aller me rafraîchir dans la salle de bain, en suite j'avais pour idée d'aller voir Raphaël. Même si je ne savais pas vraiment en quoi il allait pouvoir m'aider pour mon enquête, je supposais que si Serena me l'avais conseiller, c'était qu'il devait savoir quelque chose.
