𝖊𝖚𝖕𝖍𝖔𝖗𝖎𝖆 ✩ chensung

ᴛʀɪᴘ ₄

Allongé dans mon lit mon ordi devant moi , des émissions débile défile sans que je n'y prête une réel attention . 

- jisung 

Mon regard toujours fixer sur l'écrans , toujours vide . 

- jisung il faut qu'on parle . 

Je ferme les yeux aveuglé par la lumière que la porte de ma chambre ouverte procure à l'espace sombre et désordonné comme jamais

- je t'écoute 

Elle soupire posant le panier de linge sale pour se rapprocher de mon lit , elle ramasse au passage quelques vêtements qui jonchait le sol . 

- Ton professeur principale à appeler . 

Je sais même pas qui c'est , je ne me rappelle ni de son visage ni de son nom .

- et qu'est ce qu'il disait ? 

ça m'intéresse pas du tout . 

- il a dit que tu a agis bizarrement en cours et que tu as refuser d'allé à l'infirmerie , que c'est-il passer jisung ? 

je sais très bien où elle veut en venir , et ça ne nous mènera nul part croyez moi .

- toujours à ce mêlé de ce qui les regardes pas ces foutus profs. 

Son ton se veut plus sérieux .

- il fait son travail jisung , maintenant c'est à moi de gérer , que c'est il passer en cours ? 

Le problème avec les gens comme moi c'est que quand on ment une fois , on est sûr de le faire à chaque fois . Parce qu'on se ment à nous même , et ça nous énerve . 

- Rah maman il c'est rien passer cherche pas . 

Surement déjà à bout , sa voix devient plus forte . Je déteste lui mentir . Parce que ça finie toujours de la même façon . 

- Jisung ne me ment pas , je sais très bien ce qu'il c'est passer . 

Des larmes coule sur ses joues . 

- Il c'est rien passer c'est dingue ça putain 

Elle balance les vêtements qu'elle a dans sa main pour ce rapprocher un peu plus de moi pendant que je me redresse . 

- T'ES UN DROGUÉ JISUNG COMMENT VEUX TU QU'ON TE FASSE CONFIANCE . 

j'attrape mes cheveux couvrant mon visage de mes bras , me levant pour la pousser de façons à la faire sortir de ma chambre . 

- C'EST COMPLÈTEMENT FAUX 

En plein milieu de mon bordel sans fin , nous nous battons les larmes coulant sur chacun de nos visages . 

- jisung tu es privé de sortie , nous ne te faisons plus confiance . 

une fois l'avoir fait franchir le seuil de ma porte je claque celle-ci avant de la fermer à clé tout en criant . 

- TU PEUX PAS FAIRE CA , j'ai plus trois ans . 

Des sanglots retentissent dans le silence que j'ai crée . 

- jusqu'à ce qu'ont puissent te faire confiance à nouveau . 

Les pas de ma mère s'éloigne tandis que je frappe la porte , c'est toujours la même chose , aussitôt qu'ils auront le dos tourner je sortirais en douce et le schéma se répétera à l'infinie . 

J'attrape la boite blanche sous mon lit et constate qu'il ne reste plus grand chose dedans , je prend la boite de comprimé qu'il me reste pour la vidé complètement sur mon lit , il ne restais que 3 ou 4 cachets . 

Avec ma carte de lycéen je les écrases pour en faire une fine poudre blanche . 

Encore une fois je fuis la vérité , parce qu'elle fait mal .