❌Les femmes battues ❌

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Coucou tout le monde 💖
Comme promis,me voilà avec un nouveau chapitre super important pour tout le monde.

Aujourd'hui nous allons parler
*Des femmes battues*

*La chanson en média écoutez la svp*

Celà veut dire quoi?

Ce chapitre m'a demandé un long travail psychologique et aussi j'ai du chercher quelques témoignages afin de le rendre plus intéressant!

Merci de le lire avec attention et d'en tirer des leçons de morales.

À vos marques... prêts...GOOOO!!!

Généralement,ces femmes sont issues d'une famille ayant été victime de dysfonction.

Une femme battue se sent souvent ou presque toujours coupable.
Elle éprouve le grand besoin de contrôler les autres,elle éprouve donc de l'attirance Envers ceux qui ont besoin d'elle.

Elle excuse le comportement de son conjoint auprès des autres.

Et subissent...

Subissent des hommes alcooliques...

Savez vous que la plupart des femmes battues sont généralement celles qui aiment trop.

Malgré la souffrance que leur inflige leur conjoint...elle n'ont pas le courage de le quitter.

Suivons le témoignage de Chloé,une jeune étudiante de 23 ans,fille de père violent.

                        CHLOÉ
J'ai grandie dans une véritable famille de fous.

Je m'en rends compte que maintenant, mais lorsque j'étais jeune,une seule chose m'importait:
Que personne ne sache comment mon père battait ma mère.

Il nous frappait tous,et,nous les enfants, avions fini par croire que nous le méritions.
Mais,je savais que maman ne le méritait pas et qu'elle déplorait son comportement.

J'aurais toujours voulu qu'il me frappe moi, plutôt qu'elle.
Je savais que j'étais capable d'encaisser les coups mais je n'étais pas tellement sûr que Maman l'était.

Nous voulions tous qu'elle le quitte mais elle ne voulait pas,du moins elle n'en avait pas le courage.
C'est pourquoi je l'entourait du plus d'affection et d'attention possible afin de la rendre plus forte et courageuse pour partir mais elle n'en a jamais eu le courage,elle est morte il y a 5 ans

Depuis les funérailles,je n'ai plus remis un seul pied chez mon père et je ne lui ai plus parlé.

Ma grand mère paternelle a laissé à chacun de ses destinataires petits enfants un legs en fiducie, grâce auquel j'ai pu aller à l'université.

J'avais déjà atteint mes 18 ans et j'ai eu mon bac avec mention.

C'est là que j'ai rencontré Roy.

Nous suivons le même cours d'art pendant tout un semestre sans pour autant nous adresser la parole.
Quand le deuxième semestre débuta,nous étions plusieurs à nous retrouver dans un autre cours.

Le premier jour, nous nous sommes lancés dans une discussion animée à propos des rapports entre hommes et femmes.
Roy commença alors à parler des femmes américaines en disant qu'elles étaient complètement POURRIES, qu'elles exigeaient que tout soit fait Selon leur désir et qu'elles se servaient des hommes.

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