Epilogue

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— … Voilà comment je me suis retrouvée là, conclue-je toujours assis sur le fauteuil où je me suis surprise à me tortiller le bassin d’excitation, à croiser et décroiser les jambes.

— Bien, répond-il.

— Je voudrais savoir, plusieurs choses ; quand sortir d’ici ?

— Savez-vous au moins ce que c’est que cet endroit ?

— Ben une prison…

— Non, c’est un centre psychiatrique spécialisé pour des gens qui n’arrivent pas à se contrôler ou qui ont commis des actes sexuels sur n’importe quel être ou chose, donc adultère, pédophilie, zoophilie, nécrophilie, viol, etc... et même les gens malades qui peuvent représenter un danger. On fait croire à la population qu’ils sont condamnés à mort alors que non. Selon la loi de notre pays, il est interdit de tuer quelqu’un qui a commis différentes choses, même un attentat. Il doit être interné pendant cinq ans au maximum afin d’essayer d’avoir une guérison. Si à la fin du traitement il n’y a pas de changement, il sera transférer dans un autre endroit tenu secret par le gouvernement où il ne pourra plus jamais sortir, c’est pire qu’une prison.

Je suis restée sur le choc, un centre psychiatrique, une prison secrète…

— Mais tout le monde était consentant dans mon cas, je ne comprends pas…

— En vous condamnant juste à quelques jours afin de vous observer, comme on vous l’a dit hier ; on s’attendait tous à que ce soit passager. Mais on a remarqué beaucoup de chose, surtout que chaque fois vous en demandez plus. Pendant que vous étiez enfermée, tout était filmé ; tous vos gestes ont été étudiés. Après visionnage qui, j’avoue, est digne d’un film classé pour adulte, le juge, le médecin, le directeur de l’établissement et moi-même, nous en avons conclu que vous êtes toujours en procession de ces mauvaises particules et que vous êtes un danger pour la population. Vous pourriez vous en prendre même à tout le monde sans consentement telle une droguée toujours en manque. On est obligé de vous garder ici quelque temps et de tout faire pour éviter des situations qui pourraient être pire. La loi est la loi, elle est là pour être respectée. Selon l’article, toutes personnes représentant un danger même minime doit être mis en surveillance pendant au minimum 24h. Pendant ces heures, vous vous êtes transformée peut-être sans vous en rendre compte en une nymphomane.

— Moi, une nymphomane ? Vous rigolez, j’espère. Mais comment pouvez-vous être sûr que je ne suis pas guérie ?

— Il y a un produit spécial mélangé à l’eau, au gel douche et aux huiles présents dans ce centre qui réagit avec quelque chose qui se trouve sur votre peau et dans votre organisme. Il m’est difficile de vous expliquer d’avantage car je ne suis pas dans ce domaine. Chaque fois que vous prenez la douche, que vous buvez ce produit, soit il y a une réaction qui vous excite au point de ne plus vous contrôler ou comme dans le cas de votre voisine de chambre, vous dites stop. Quand on demande l’arrêt complet pendant au moins 1 heure c’est qu’on est guéri, on n’a plus les particules spéciales en nous.

— Comment ?

— Pour les gardes et les gardiennes, me coupe-t-il, ce sont des anciens malades, si je peux me permettre, des gens qui sont moins dangereux pour la société. Ils viennent 3 jours par semaines à la demande du directeur ou la leur car ils ont encore quelques pulsions cachées, mais ils arrivent à se contrôler. Ils peuvent prendre leur plaisir entre eux sans problème mais pas avec les malades. Ils doivent exciter les autres en se masturbant, en leur offrant leur attribut par contre, ils ont l'interdiction de les faire jouir et pas plusieurs fois par jours afin de prouvez qu'ils se retiennent et peuvent rester en liberté. Tout ceci, nous permet de savoir comment les gens réagissent afin de savoir leur degré de maladie, s'ils arrivent à stopper leur pulsions ou pas. Est-ce que c’est plus ou moins clair ? J’ai essayé de vous expliquer au plus simple.

— C’est clair, mais vous vous trompez ! Je vais bien, je suis guérie et prête à sortir maintenant !

— D’accord, si vous le dites. Faisant le test tout de suite alors.

Le psychiatre ouvre la fermeture éclair et sortie sa bite en semi-érection, un engin qui promet de passer un bon moment.

Waouh…

Sans y réfléchir, telle une personne qui n'avait plus gouté à ce met depuis des années, je me suis ruée dessus. Penchée avec les jambes tendues et écartées pour que le beau mâle puisse profiter de mes formes, je la prends dans la bouche et commence à la goûter. Elle durcit rapidement. Je continue sans relâche mes aller-retour, je suce de plus en plus fort, jusqu’au fond de ma gorge. Je sens qu’il aime ça et qu’il ne veut pas que je m’arrête, je ne veux pas non plus. Je le tiens fermement dans ma main par les testicules, j’ai envie de lui demander de me caresser, mais au fond, j’aimerais juste le vider. Il m’est impossible de m’arrêter, tout ce mélange dans ma tête, son plaisir, le mien. Je commence à sentir que mon corps est en ébullition, des vibrations. Ma chatte continue à s’inondée. Mes vas-et-vient n’ont cessé que lorsque la queue devient encore plus grosse. Je sens que sa jouissance arrive. J’ouvre complètement ma chemise puis mis sa queue entre mes seins pour continuer ce massage très intime. Il n’a pas pu résister très longtemps et gicle son précieux liquide tant apprécié. Une partie finis sur mon visage, une autre dans mes cheveux, puis mon cou et mes seins. Je commence à tout étalé et me lève pour me présenter d’un peu plus prêt, quand la porte s’ouvre pour laisser place à un couple de gardien.
Tiens on a de la compagnie…
Ils me passent les menottes, me bandent les yeux et me font avancer dans le noir. Le gardien me détache, me déshabille et me laisse là nue avec mon bandeau sur les yeux. Je commence à me masturber pour me soulager jusqu'à ce qu’une voix connue m’arrête en me tenant les mains.

— Voilà, et vous dites que vous arrivez à tout contrôler ? me demande-t-il. Je vous laisse réfléchir à la situation. Ah, avant que j’oublie, merci pour m'avoir aussi bien vidé, me chuchote-t-il à l’oreille a dans deux jours.

Non, pense-je. Qu’ai-je fait ?

— Vous dites que vous n’avez pas le droit de jouir sur les malades si j'ai bien compris... demande-je en espérant le faire réagir.

— N’oubliez pas, Madame Blanchard, ils n'ont pas le droit au vue de leur statue, mais je ne suis pas un garde ou une gardienne... me répond-t-il avec un clin d'œil et un sourire gourmand.

Ils partent tous sans oublier de m'enlever le bandeau. Je suis dans une espèce de cage entourée de miroir. Je me regarde, je continue ce que j'avais commencé avant que le psychiatre m'interrompe. Je dance sur moi-même, mon corps vibre de plus en plus, mon clitoris grossit à son rythme, je trouve le temps longs.

Les minutes passent et mes reflets disparaissent. Je me tourne dans tous les sens pour voir ce qui ce passe, et là des visages virils apparaissent dont certains que je reconnais de suite. Je me suis surprise à sourire en retrouvant mes amants de la veille. Les miroirs continuent de descendre pour me présenter des corps parfaits. Plusieurs hommes entrent tous en érection…. Je ne sais où donner de la tête.

Sans attendre une seconde, ils se jettent sur moi, nos corps se mélangent, les gémissements commencent, des caresses, des baisers, des pénétrations,…

Enfin…

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⏰ Dernière mise à jour : May 26, 2020 ⏰

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