Le Déluge.

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L'être tyrannique se décompose, les reflets d'une crépuscule se faisant ainsi encore plus lointain, plus sombre, une longe chevelure de geai qui se repose alors sur tes épaules qui n'était autre que celle d'un sauveur du peuple, d'un homme torturée par les dimensions de ses peines.

L'humble carrure se révèle alors après tant de batailles, tant de défaites  écrasantes.
Un désir fort d'un changement, d'une nouvelle renaissance.

D'une justice indigne, face aux détresses du peuple, qui ne semblait que rugir de famine, ou leurs ventres gronde et réclame, la sécheresse des corps exorbitant d'un horrible sentiment de faiblesse, d'un cercle vicieux entre la peine, et la mort, l'angoisse d'un abandon, la naissance d'un silence sourd emprisonné dans une sphère, d'un énième soupire sous la menace d'une lumière instable, morte, d'un bonheur sans saveur et valeur.

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