Chapitre 239 : Ils vont être gâtés

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2 mai 2020
9h15

-Je cherche la bombe de la maison, entendais-je avant que la porte de la salle de bain ne coulisse.

Je suis entrain de finir de me maquiller dans la salle de bain de la chambre, penchée sur le lavabo lorsque Monsieur Antoine fait son apparition dans la même pièce que moi.

-Qu'est ce que tu veux ? Je lui demande en le regardant à travers le miroir le sourire aux lèvres.

-Je cherche la bombe de la maison, reprends t'il, le regard dragueur.

-Tu veux me demander quoi ? L'interrogeais-je suite à sa déclaration inhabituelle en me retournant.

-Ba rien, me répond-il sérieusement. J'ai plus le droit d'être gentil avec ma copine ? Me demande t'il en me prenant par les hanches pour m'approcher de lui tandis que mes mains se déplacent autour de son cou après avoir déposé mon mascara.

-Bien sûr que si, mais d'habitude tu n'es pas ce genre-là, le taquinais-je en souriant.

-Et je suis quel genre ? Me demande t'il joueur en collant son front au mien.

-Du genre... plus... direct, dira-t-on, répondis-je sur le même ton que lui en frottant mon nez au sien.

-Tu préfères ? M'interroge t'il dragueur en frôlant mes lèvres avec les siennes.

-Peut-être, dis-je doucement en souriant.

Sans n'avoir rien au le temps d'ajouter en plus, ses lèvres s'emparent des miennes dans un baiser aussi sauvage que langoureux. Nos souffles deviennent cours, mes mains remontent dans ses cheveux, les siennes descendant à mes fesses et s'en empare pour me soulever et m'assoir sur le meuble de la salle de bain. Il fait écarté mes cuisses en faufilant son corps entre elles alors que nos baiser ne s'arrêtent pas.

-Antoine... murmurais-je au moment où il nous laisse reprendre notre souffle.

-Qu'est-ce qu'il y a ? Me demande t'il surpris que je l'appelle maintenant.

-On doit partir, lui rappelais-je à contre cœur.

-Pas déjà ! Se plaint-il en soufflant, nos fronts collés

-Si, répondais-je de la même manière. T'es parents vont nous attendre. On leur a dit qu'on arriverait à onze heures à Lyon donc on peut pas faire retarder l'avion, finissais-je alors que ses mains continuent de se cramponner à mes hanches.

-On en n'a pas fini tous les deux, finit-il par me dire après quelques secondes de blanc.

-Pas de problème monsieur direct, rigolais-je en le poussant légèrement pour que je puisse descendre du meuble et me diriger vers la sortie de la pièce.

Avant que je ne sorte de la salle de bain je sens sa mains venir se déposer sur mes fesses et les presser légèrement.

-Arrête, rigolais-je en me retournant.

Après ce petit jeu de séduction entre lui et moi que nous adorons faire depuis qu'on se connait, nous terminons de boucler les valises, puis on prend tous les trois la direction de l'aéroport direction Mâcon.

Enfaite, Antoine a une grosse semaine de repos avec le club, et moi quelques rendez vous sur Paris Lundi et Mardi, et un autre à Barcelone Mercredi. Donc pour éviter que Lyam ne fasse trop de trajet avec nous pour le boulot, on a préféré le faire garder par ses grands parents jusqu'à qu'ils viennent à leur tour nous voir Jeudi prochain et qu'ils restent jusqu'au dimanche. Cette organisation nous permet de un, de passer du temps rien qu'Antoine et moi, de deux, de voir notre famille sur Mâcon et qu'eux viennent sur Barcelone et de trois, de donner l'opportunité à Lyam de rester quelques jours avec ses grands parents. Oui parce que sur ce premier et dernier point, Antoine vient avec moi pour mes rendez vous donc Lyam sera vraiment qu'avec son papy et sa mamie. Même s'il ne pourra pas rentrer avec moi pour discuter.

Dans son regard (suite)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant