La nuit réchauffe mes joues par le biais de mes larmes
Me Rappelant que je n'aurais du baisser les armes
Attendris par toute ta tendresse et ton charme
Ainsi que par la sublime beauté de ton âme
J'aurais tant aimé pouvoir briser le charme
Avant que la vie ne fauche dans un grand vacarmeEt je ne peut pleurer que ma propre faiblesse
Douleure due aux tourments de la jeunesse
Pour te sauver j'aurais imploré dieux et déesses
Quitte à faire dont de mon âme à HadèsMais tu t'en es allée de manière si soudaine
Que je n'ai rien pu faire pour remédier à nos peinesMaintenant je suis seul ici bas et toi la haut au près des tiens
Chaque pensé de toi me fais souffrir au quotidien
Plus aucune promenade ou ta main dans ma main
Mon regard se perdait dans la pronfondeur du tienNostalgie, Mélancolie tout ce mélange dans ma tête
Mais lucide je suis et il n'y a qu'un chose que je désire de tout mon être
C'est de m'envoler pour te rejoindre pour toujours, à jamais