Il est seul dans une de ses rues surchargé
Et sous ses yeux pâles , deux tranchées violacées
Témoins de la guerre entre son quotas de sommeil et sa paie
Sa vie, une montagne de travail qui ne fini jamais
Noyé dans la masse difforme sans aucune boué
Aucun bateau, aucune barque, il n'y a rien pour le sauver
Aucune passion, aucune famille pour l'en extirper
Il est seul malgré tout les gens avec qui il doit cohabiter
Elle étouffe au contact de cette foule oppréssante
Cette masse, informe disposant d'une force puissante
Elle voudrait s'envoler, s'échapper sa la tente
Elle ne le peux tout de suite mais reste dans l'attente
Elle se déplace entre bourrasque et tornade
Son patron, son boulot rien qui n'aide sa vie si fade
Sa vie un ciel bleu recouvert de sombres nuage
Elle espère qu'il se découvre pour pouvoir tourner la page
Et au détours d'une rue, en plein milieu de tout ce monde
Le temps sembla ce figer pour d'éternelles secondes
Le temps d'un éclair, d'une foudre passionnante
Réunis mer et air, pendant que la rue chante
Ils ne se connaissent pas mais savent tout deux
Que l'un sera moins seul et l'autre plus heureux
