Il n'y a plus de larme, elles ont toutes coulées
Sur ce marbre clair, qui scelle la vie
Il n'y a plus de flammes pour éclairer
La part de chagrin et de peine qui en moi grandisReposes sous cette vaste mer de pierre
Toi qui nous a vu naître moi et mes anciens
Dorénavant tu voles rejoindre les tiens
Toi la mère du père de ma mèreMon regret est de ne pas t'avoir assez connu
Toi qui a tant vu, tant connu, tant vécu
J'avoue avoir pris du plaisir à écouter tes histoire
Sur ta vie en Bolivie, sur mon grand père et ta mémoire
M'étonne tant que j'aimerais en hériter
Tout autant que le secret de ta longévitéTant de monde dans ce lieu de culte froid
Tant de monde que je ne connais ou ne reconnais pasAujourd'hui nous avons atteints la croisée des chemins
Et trois direction se dessinent au loin
La mienne dont la destination m'es inconnue
Celle de tout ces autres que je ne croiserais plus
Et la tienne la plus paradoxale
Qui de nous autant se rapproche qu'elle ne s'éloigne
Inatteignables et en nous pourtant
Tu demeurera toujours dans le coeur de tes enfantsAlors puisse mes mots exprimer
Ce que ma bouche ne peut raconter
Puisse mon encre couler
Plus que les larmes sur mon visage peiné
Et puisse tu enfin apprécié
Ce petit poème de la ou tu es