Bonjour a toi,
Je m'appelle Elisabeth, je vais te raconter comment j'ai débuté ma vie comme princesse de France et finir en Luna d'Amérique du nord.
Ma vie n'a pas était super calme mais je vais essayer de te la raconter comme je m'en souviens.
Lui...
Je me souviens m'être réveillé dans cette cave, il y a environ deux jours peut-être plus, peut-être moins, je ne sais pas. Comme tout le monde peut s'en douter je fais presque totalement noir et très froid, il on dut oublier que nous somme en hivers, je ne sens presque plus mes doigts. Je n'ai rien eu de quoi mangé depuis mon réveille et mon dernier repas doit être celui du mariage à vrai dire.
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Je n'en peux plus, de cette situation je dois sortir d'ici, je m'approche difficilement de la porte en boitant car j'ai une vilaine plaie au niveau de la jambe qui me fait extrême mal, je pense avoir perdu beaucoup de sang mais je n'ai rien pour me soigner. Une fois arrivé près de la porte, je commence à crier de toutes mes forces.
Cela fait maintenant un long moment que je me suis mise à crier devant cette porte pour qu'il me laisse sortir, à un moment donné j'entends la porte s'ouvrir. J'essaye de me recule rapidement après avoir arrêté de crier quand je vois deux hommes entrer dans la pièce.
Lui : ASSEZ !!! Tais-toi tu nous casses les oreilles à la fin.
Moi : Temps mieux, laissez-moi sortir alors.
Lui : Tu es sûr de toi de vouloir sortir ?
Je ne réponds rien et acquiesce de la tête.
Lui : Comme tu voudras.
Il finit par s'approcher de moi avec un sourire aux lèvres et m'attrape par les cheveux et me tire en dehors de la cellule. Finalement j'aurai peut-être dû m'arrêter de criée avant et ne pas leur tenir tête.
Moi : Arrêtez, vous me faites mal. Je lui dis en me tenant les cheveux pour essayer de soulager la douleur.
Lui : Tu voulais sortir, alors ton vœu va être exaucé, on va aller s'amuser un peu.
Moi : Ahhhhhh !!!! Vous me faites mal. Je lui dis en pleurant.
Lui : Ce n'est que le début ma jolie.
Il continue de me tirer par les cheveux, les deux hommes rigolent pendant tout le trajet. On finit par entrer dans une nouvelle salle, ou il me jette sur cette chaise et m'attache les mains.
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