Chapitre 5

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Ainsi quasiment tout les jours, je me retrouve prise en étau par Albert-René qui abuse beaucoup de moi. Il s'en fiche que je lui dise non maintes fois. Il continue toujours avec la même violence. C'est un véritable calvaire.

Je vis tout les jours dans la peur de revoir Albert-René. C'est intenable. Je décide d'en parler à Philibert et Jean-Alberto, mes nouveaux meilleurs copains même si je regrette la présence de Lili-Augusta. Elle représente tant pour moi.

Moi : Les vélos, j'ai quelque chose de très personnel a vous dire.

Philibert : Vas-y déraille !

Moi : Je me fais violer quasiment tout les jours.

Je baisse les poignées.

Jean-Alberto : Quoi ?! Et qui fais ça !! Que je le crève !!!

Moi : C'est René-Albert.

Jean-Alberto : Je ne le connais pas celui là. Tu le connais Philibert ?

Philibert : Non. C'est qui ?

Moi : Un cadenas noir.

Philibert : Ah oui, t'es tombé sur un méchant.

Moi : Oui, il est horrible !!

Soudain je me mets à faire gicler de l'huile de moteur partout. Je suis dévastée. Mais ça personne ne peut le comprendre sans l'avoir vécu.

Ils essaient de me rassurer en m'assurant que ce sera bientôt fini, mais je n'y crois pas trop. Il n'y a aucuns espoirs, je vais finir ma vie mariée à ce cadenas. Quelle belle vie en perspective !

La porte du garage s'ouvre encore. Je suis paralysée. Je ne sais pas quoi faire. Je ne veux pas que le débile réabuse de moi. Je veux pas. Je veux qu'on me laisse tranquille. Laissez moi faire ma vie, putain !!!

L'humain m'attrape d'une main plus douce cette fois ci. Il me chevauche jusqu'à arriver à un endroit différent de tout ce que j'ai connu auparavant. On s'arrête et je sens que c'est maintenant que l'horreur va commencer. Ça ne peut être que maintenant.

Je ne m'y attends pas du tout à la suite des événements. En vérité j'apprecie plutôt le moment. Un cadenas tout vert vient s'enrouler autour de moi très sensuellement. C'est très délicat et agréable. L'etreinte me plaît beaucoup comme convenu elle n'a pas l'air d'être desaprecié du vert.

Moi : Qui est tu métallatre ?

Le cadenas vert : Moi c'est Colin et toi ma vis ?

Moi : Moi c'est Marie-Francesca.

Je me sens chauffer et je commence a virer au blanc. Non Marie-Francesca, il faut te reprendre. Tu ne peux pas faiblir devant lui. Pas comme ça.

Moi : Tu vis où ? C'est la première fois que je te vois.

Colin : Dans une maison.

Moi : C'est vrai ? La chance que tu as.

Colin : C'est vrai que c'est cool.

Moi : Moi je suis dans un vieux garage poussiéreux. En plus, il sent mauvais.

Colin : Tu n'as pas de nez, tu peux pas sentir.

Moi : Ah oui c'est vrai ! C'est que tu es intelligent toi !

Colin : Oh merci, c'est vrai que c'est une de mes qualités après la modestie.

On continue a parler. Je sens que je commence à avoir un petit faible pour Colin. Il est tellement gentil et délicat.

On continue a parler et tout d'un coup quelque chose me frappe. Les chaussures que je portais aujourd'hui étaient bleu jaune contrairement a la dernière fois.

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Chroniques de Marie-Francesca : violée par mon violeur [Terminée]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant