Chapitre 8

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Ce matin, je me réveille tout excitée de mettre notre plan en place. Il est peu être très simple mais je suis sûre qu'il marchera. Aussi, c'est Colin qui l'a trouvé, il doit automatiquement marcher.

Dans le garage, je fais ma morning routine. Je vois Philibert et Jean-Alberto, mes amis vélos qui font la leur. Je remarque qu'elle n'est pas si différente de la mienne. Etrange.

J'attends avec un peu d'impatience le moment où je vais enfin faire ma sortie quotidienne. Mes amis vélos s'approchent. Ce sont Philibert et Jean-Alberto. Ils me voient trépigner d'impatience et ils doivent trouver ça très bizarre. C'est comme si j'avais très envie de retrouver mon mari. Non, jamais.

Philibert : Qu'est ce qu'il t'arrive aujourd'hui ? Tu as l'air heureuse pour la première fois de ta vie.

Moi : J'ai déjà été heureuse plein de fois.

Philibert : Ah bon ?!

Il n'a pas l'air de me croire, c'est très étrange.

Philibert : Bon, sinon, qu'est ce qui fait que tu sois si enthousiaste ?

Je ne sais pas si je peux leur révéler le plan avec Colin. Ils peuvent sûrement savoir le plan sans savoir le contenu. Oui, c'est bien. Marie-Francesca tu commences à avoir l'intelligence de Colin. Comme il serait fier de moi.

Moi : Avec Colin, on a mis un plan en place pour se débarrasser de René-Albert.

Philibert : C'est quoi ?

Moi : Je ne peux pas te le dire, c'est top secret.

Philibert : Pourquoi ?

Moi : Parce que.

Philibert : Et si jamais je veux me débarrasser d'un autre cadenas qui me fait chier. Tu ne veux toujours pas me le dire ?

Moi : Bon, d'accord.

Philibert : Parfait, c'est quoi ?

Et je lui dis et j'en ai un peu honte d'ailleurs. J'aurais du garder le secret. Bon, tant pis. Je ne vous mets pas le contenu ici pour faire durer le suspense.

Philibert : Tu est sûre qu'il va marcher. Il est un peu bidon ton plan.

Moi : Eh, c'est Colin qui l'a trouvé.

Philibert : Il doit être forcément génial alors.

Moi : Je préfère ça.

Enfin, l'humain arrive et m'emmène avec lui. Je vois que c'est celui aux basquets violettes. Parfait, René-Albert est là. Le plan va pouvoir se dérouler comme prévu.

Je roule à une vitesse folle, tout le mode doit être en train de m'admirer. Au loi, j'aperçois Lili-Augusta, ma meilleure amie du paquebot. Elle a disparu pendant si longtemps. Elle aussi elle a programmé pour me laisser le temps de débuter ma vie amoureuse. Avec elle collée aux cercles, je ne risquai pas d'avancer beaucoup.

Enfin, on s'arrête et j'aperçois René-Albert. Il est déstabilisé de me voir si souriante. Quand il m'embroche, je suis toujours joyeuse. C'est parti, tout les éléments sont en place, ça va pouvoir commencer. Je vois le cadenas noir, René-Albert, qui se pose des questions.

René-Albert : Qu'est ce que t'as ?

Moi : Rien rien.

Parfait, il ne se doute de rien. Cela va commencer.

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Chroniques de Marie-Francesca : violée par mon violeur [Terminée]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant