Aujourd'hui, je me réveille et j'entends un truc qui grince. Je me retourne et vois que c'est la porte du garage. Un homme, différent de celui qui m'a emmené arrive. Il se dirige tout droit vers moi.
Je sais qu'il va m'attraper. Je ne veux pas, mais je n'ai pas le choix. Aussi je me laisse faire. Il m'entraîne à l'extérieur.
Il a commencé a me faire rouler tout en étant sur mon dos. J'avais l'impression d'être libre. Quelle merveilleuse sensation quand même.
Je roule toujours plus vite, le guidon au vent. Je sens l'air qui passe sur moi.
Alors que l'on continue à avancer toujours plus vite (grâce à moi surtout) je croise plein d'autre trottinette et des vélos. J'ai même croisé des voitures.
Quand je les regarde, elles font toutes des têtes bizarres. Aucune ne sourit, c'est très étrange tout ça. En plus elles ont une bouche pour sourire, pourquoi elles ne le font pas ?
Elle aussi, elles se sont sûrement fait violer, c'est pour ça. Heureusement que j'ai compris vite car j'ai failli poser la question. Elles m'auraient très mal regardé.
Et là dans la rue, je croise Gérard, il roule lui aussi mais un peu devant moi. Je décidé d'engager la conversation avec lui.
Moi : Salut Gérard. Comment vas-tu ?
Gérard : Ça va. Ça va. Et toi ?
Moi : Ça était. Je me suis fait des nouveaux amis très sympas avec qui j'ai beaucoup parlé. Et toi, rien de nouveau ?
Gérard : Alors moi, je n'ai rien fait de particulier. J'ai juste dormi dans un local froid et sombre avec une vieille teillère. C'était horrible elle a sifflé pendant toute la nuit.
Moi : Comme je te comprends. Espérons que tu dormes mieux la prochaine fois.
Gérard : J'espère aussi. Bon à plus tard je tourne à gauche.
Moi : Ok a plus tard.
Je suis heureuse d'avoir revu une connaissance. J'ai le coeur plus léger qu'après mon viol. Je frisonne en y repensant à moins que ce soit du aux gravillons sur le sol. L'humain au dessus de moi est secoué aussi, étrange.
Je l'observe. Il porte un jean bleu et des baskets violettes. C'est la seule partie que je peux voir du coup je ne pourrais pas vous d'écrire le haut.
Nous nous arrêtons bien vite devant une sorte de bâtiment aux vitres jaunes. En passant devant avec l'air de la déesse de la carrosserie, j'aperçois des caddies. Je secoue mon guidon pour les charmer. Je pense que ça à marché parce que un m'a dit " t'es ronde " quand je suis passée.
Ce n'est pas de ma faute si je suis hyper douée en drague, il faut aussi avouer que j'ai des atouts non négligeables !
Je m'arrête a côté d'un barrière qui se trouve à côté de rien.
L'humain aux baskets violettes descends et me remontre le calvaire auquel j'avais cru échapper.
Le cadenas noir se trouvait devant moi et il fonça sur moi à la vitesse de la lumière. Avant d'abuser encore de moi, il n'avait eu le temps de dire qu'une seule phrase.
Le cadenas violeur : Souviens toi de mon nom, je suis René-Albert.
J'ai vécu un enfer ce jour là. Un enfer que je ne souhaite a absolument personne.
N'oubliez pas de voter et de commenter et de partager et de lire tout simplement.
VOUS LISEZ
Chroniques de Marie-Francesca : violée par mon violeur [Terminée]
HumorAlors que je descendais du bateau qui m'ammenait en Europe, je me suis faite violer par un charmant inconnu. Plus tard, j'ai appris que je le reverrai que je passerai ma vie avec lui. On était quasiment marié.