Et on se redressa. On resta assis sur le lit longtemps avant de se mettre sur nos pieds. Elle me lança un petit sourire et je me dirigea vers ma chambre, j'ouvris la porte et je fus replonger dans le noir le plus complet. Je crois que je préférais ça que de voir toutes ces photos au mur. Avec ma soeur, ma mère, mon père, avec lui aussi. Je crois que j'ai jamais eut la force de les enlever. Alors j'ai quand même allumer la lumière, parce que bon, j'ai peur du noir. Et je fixais cette photo. Longtemps. Jusqu'à ce que la rage m'envahissent au point que je cours, de toutes mes forces, vers le mur, et que je passe ma main à toute vitesse sur chacune des photos afin de les arracher. Je hais les souvenirs. Je revint sur mes pas et pris le manteau bleu marine posé délicatement sur ma chaise de bureau. J'éteinis la lumière, et ressorta. Ma soeur m'attendait devant les escaliers. Je lui fit un signe de la tête et nous descendimes.
"Maman, on revient.
-Vous.. Vous voulez que je vous accompagne Harry?
-Non, on va marcher.
-Merci."Et elle nous sourit. On ouvra la porte et une fois refermé on fut replonger dans le froid le plus glacial. Je pris ma soeur par le bras, comme les jeunes mariés. Et elle posa sa tête sur mon épaule. Et on marcha, marcha, marcha, dans la rue plongé dans le silence, le noir, le froid, la neige. On ne parlait pas. Et mène si le parc était au bout de la rue, ce fut les minutes les plus longues. On mettait un pied devant l'autre sans bronché, sans se souciait de la neige qui ne faisait que tomber. Je glissa mes mains dans les poches. Et pendant 10 minutes on marchait comme ça, alors oui, au lieu de voir ses yeux embrumés, et même si j'en ai peur, je préférais de loin le noir le plus complet, le plus effrayant. Et on arriva. J'ouvris le petit portail et on se glissa dans le parc. Alors même si il n'y avait aucune lumières je connaissais où nous devions aller. Je connaissais le nombre de pas du portillon au banc, du banc au pont, en passant par le bac à sable emplit de neige, je savais tout ça, comme je savais que 1+1 faisais 2. D'ailleurs qui a dit cette connerie? Qui nous dit qu'il ne l'a pas inventé sur un coup de tête, comme celui qui un jour a dit "Le bonheur vient quand nous sommes entouré de personnes qui nous aiment." C'est faux. Une personne qui est heureuse peut préférée la solitude, cela peut être son bonheur. Il y a des milliers de cas. Des milliards. Un cas par personne. Comme la dépression. Il y a autant de forme de dépression que de dépressifs.
Je pense que le bonheur doit faire mal. Car c'est quand tu commence à être heureux, que tu te rends compte, qu'en faite, tu étais malheureux. Le bonheur est une salope.
Et comme toute salope, le bonheur se fait baiser, de tout côtés par des cons. Les gens heureux sont des cons.
1-2-3-4-5-6 pas et on arriva au banc. Elle me fit un signe de tête et j'acquiessai. Alors nous nous sommes assis.
On entendait tout. Des feuilles craquelés, au vent qui soufflait, en passant par le son minime de chaque flocon qui s'écrasait.
Des feuilles qui craquelés. Il est là. Car même quand il y a du vent une feuille ne craque pas.
"Alors Harold?"
Je reconnaissais cette voix. Ce n'était pas lui. Je ne m'y attendais pas. Je n'étais pas près. Je ne suis jamais prêt pour lui faire face. Il était avec sa copine.
"Laisse le tranquil.
-Sinon tu vas faire quoi salope?"Alors même si je n'étais pas prêt son dernier mot m'avais fait me préparer. Et je me leva.
"Elle, rien. Elle va pas bouger. Mais moi Malik, je vais t'en faire voir de toutes les couleurs, et je t'assure qu'après tu verras plus la tête de ta pute de copine. Edwards, ça te ferais plaisir? Qu'il te baise sans trouver le trou? Par contre si vous faites un pas de plus Malik, tu perdras tes yeux, et je ne manquerais pas d'écarter la chate de ta copine sous tes yeux. Oh mauvais jeu de mots. Casse toi."Et pour la première fois je crois que Gemma était reconnaissante. Mais surtout Zayn avait un sentiment inconnu dans ses yeux, celui que je vis chaque jour en le croisant, chaque nuit en faisant des cauchemars. La peur. Il avait peur. Et il s'est avancé.
"T'as.. T'as bu Harry.
-Gemma."Et personne ne disait plus rien.
"Tu t'approches de Perrie, je t'assure que même si je suis aveugle, je trouverais facilement le vagin de ta pute de soeur, il a tellement était écarté au par avant.
-T'en a dit trop Malik."Et je lui mis un coup de poing. Il tomba, en sang et je put continuer avec les pieds.
"HARRY ARRÊTE TU VAS LE TUER, HARRY, T'AS BUS ARRÊTE HARRY!! HARRY S'IL TE PLAIT CALME ET TOI MON ANGE. Tu vas le tuer Harry, s'il te plaît.
-C'est tout ce qu'il mérite."Et je crois qu'elle continuait de me parler. Mais tout était trop confus dans ma tête.
Je senti une étreinte dans mon dos. Doucement ma soeur me relevé, mais je me débattais.
"Harry... S'il te plaît Harry, calme toi.
-Qu... Qu'est ce que t'as fait. Il est en sang. Qu'est ce que t'as fais. Putain. J'y crois pas. T'es.. T'es un monstre. Mon coeur, Zayn, tu m'entends?
-Lâche moi Gemma.
-Harry...
-Emmène le à l'hôpital, il est à deux pas, mais pour l'amour de dieu, Gem, lâche moi putain!
-J'appelle une ambulance Harry."Et l'autre poufiasse ne bougeait plus.
"T'es fou. Malade. Psychopathe.
-Edwards, tu vas me faire le plaisir de fermer ta bouche de suceuse, ou ton copain même pas je fais un pas pour l'emmener à l'hôpital. Parce que même si je suis une fille, j'ai plus de force que toi et je suis la seule en état de l'emmener. Ou je le laisse ici, où tu fermes ta grande gueule. Compris conasse?"Et Perrie hocha la tête.
Gemma pris Zayn par le bras, le fit s'appuyer sur son épaule et elle le souleva, comme une princesse. Je sorti mon téléphone et pris une photo. Ma soeur fit un air "outré" mais elle aussi, elle mourrait d'envie d'éclater de rire.
"Tu me l'enverras."Et nous rigolames. Puis elle reprit son chemin et je restais seul avec Edwards dans le parc des gens heureux.
Dans le parc des cons.
C'était encore plus grande satisfaction que de le faire avoir des regrets, c'était de pousser à mort celui qui avait prit ma place.
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18 Larry stylinson
FanficFiction basé sur la romance Larry stylinson. Sortit tout droit de mon subconscient tous plagiats seront bannies. Scène de viole et violence au rendez-vous.