Chapire 18

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Choix A: Ne pas y aller.

Re Aleksander: "Encore bonjour Aleksander, j'aurai vraiment aimer participer au gala, mais malheureusement je dois rentrer chez moi. Je vous souhaite une belle soirée et espère vous revoir bientôt."

Je range mon portable dans mon sac et ferme les yeux tandis que l'ascenseur descends.
Je n'arrive pas à croire que j'en suis arrivée là.
Maccini ne serai pas capable de faire une chose pareil n'est-ce pas? J'ai envie de pleurer ou même de me taper la tête contre le mur.
Alors que je commence à me prendre la tête, un vertige me prends alors la tête. Quelque chose bouge dans mon ventre.
Je m'immobilise et le touche.
C'est alors que je sens cette petite chose bouger à nouveau. Je souris tendrement mais me reprends soudainement. Ce n'est pas toute seule que je suis sensée être heureuse.
Si je continue à me lamenter comme ça, je risque de me faire mal mentalement. Il faut que je pense tout de suite à autre chose.
Je sors de l'immeuble et entre dans la limousine qui était garé devant l'immeuble et demande au chauffeur de me a ramener à l'hôtel.
Je vais faire mes bagages et partir loin d'ici je ne veux pas rester une seconde de plus dans ce pays!

Deux heures plus tard, je pars en direction de l'aéroport.
Je n'ai pas encore choisie la destination, mais une chose est sûr, il faut que je m'en aille loin de Maccini.
Être si proche et à la fois si loin de lui me fait mal au cœur alors autant être loin de lui une bonne fois pour toute.
Quand la voiture se gare je sors et me dirige vers le coffre pour prendre mes bagages, mais l'un de mes gardes du corps se déplace plus vite que moi et les prends à ma place.
Je soupire.

Lesley: Vous savez je peux me débrouiller toute seule.

Garde: Monsieur Maccini nous a demandé de veiller à ce que vous ne faites aucun effort.

Lesley: Ouais ... Et vous compter me materner jusqu'à quand?

Garde: Jusqu'à ce que le patron nous ordonne que ce sois fini.

Génial.

Lesley: Qu'importe ce qu'a dit le patron, je ne compte pas me faire suivre toute ma vie, alors il va falloir me laisser tranquille.

J'essaie de dire ça sur un ton autoritaire mais le mec rigole.

Garde: Écoute poupée, le patron nous a donné un ordre nous on le respect. Tu devrais peut être comprendre ça.

Je fulmine.
C'est bien un gas de Maccini.
Si je veux être en paix, il va falloir que je trouve un moyen de leur échapper.

Garde: Ou es-ce que vous comptez aller ?

Lesley: Je ne sais pas.

Garde: Va falloir que vous vous décidez.

Lesley: Oui et bien laissez moi d'abord aller au toilette.

Les deux gardes me suivent jusqu'au toilettes de l'aéroport et m'attendent à l'entrée.
Je sais que ce que je vais faire est sûrement la plus mauvaise idée que je ne pourrai avoir, mais je n'ai pas envie de passer le reste du temps avec deux mecs qui sont là pour me surveiller.
A l'entrée des toilettes, j'en profite pour élaborer un plan pour les semer.
Je décide alors d'aller à New-York pour récupérer ma mère et mon chien puis ensuite d'aller en Italie.
J'improviserai une fois que je serai sur place, je ne préfère pas savoir ce que je vais faire à l'avance. Avancer dans l'inconnu me plaît.
Je sors rapidement des toilettes et indique la destination que je souhaite prendre.

Éclipse

Il doit être minuit quand nous arrivons enfin à New-York.
La vole a été beaucoup trop long, Maccini ne m'a pas donnée signe de vie depuis que j'ai essayé de passer le voir à l'hôtel.
Dans l'aéroport, je cherche ma mère du regard. Je commence à être fatigué, le trajet n'était pas du tout reposant comme je l'espérais. Mais je sais que des qu'elle sera là, avec moi, tout iras au mieux.
Et quand je la vois débarquer je manque de crier de joie.
Mais je me retiens.
Elle s'approche de moi et me prends dans ses bras.

Maman: Mon bébé. Si tu savais à quel point cela m'a manquer de te serrer comme ça dans mes bras.

J'enfouis ma tête dans ses cheveux.

Lesley: Tu m'as tellement manqué. Si tu savais à quel point j'attendais ce moment. De partir toute les deux et de profiter du moment présent.

Elle me sourie et me touche le ventre.

Maman: Waouw. Quel magnifique ventre. Comment se porte t-il?

Lesley: Très bien, mais pas autant que le père à vrai dire...

Je baisse les yeux, mais elle me relève la tête de ses deux mains.

Maman: Tu me raconteras ça plus tard. Pour le moment il y a un vole qui nous attends pour l'Italie et deux garde à semer. Oscar a déjà été mis en soute il ne manque plus que nous trois.

Je rigoler. Mais m'arrête soudainement.

Lesley: Nous quatre ?

Ma mère hausse les sourcils.

Maman: Bah oui, tu ne croyais quand même pas que j'allais partir en vacances toute seule ma fille difficile à gérer et qui est enceinte en plus.

Nous rigolons toute les deux.

Lesley: Qui sera du voyage?

Ma mère sourie et se retourne et fait signe à deux personnes qui attendait plus loin.

Lesley: C'est pas vrai?! Tu as demander à Lisa et Gloria de venir?!

Maman: Oui ma chérie, j'aurai bien besoin d'aide. Lisa parce que c'est ta meilleure amie et Gloria parce que tu as raté tous ses cours et qu'elle avait envie de te passer un savon.

(Petit rappelle: Gloria était notre prof de danse et notre chef dans notre ancien club de strip-tease.)

Je lui réponds les mâchoires serré pour rigoler.

Lesley: Super, et moi qui croyais ne plus jamais la revoir.

Je regarde les deux femmes s'avancer vers moi et m'élance dans leur bras.

Maman: Bon et bien maintenant que nous sommes toutes réunies, ils nous restent une chose à faire.

Elle s'approche de mes deux gardes qui s'étaient battue en retraite.

Maman: Messieurs, il est temps pour vous de laisser ma fille tranquille. Je vous remercie de l'avoir protéger mais maintenant vous pouvez partir.

Garde: Désolé, mais le chef ...

Maman: Blablabla, qu'importe ce qu'à dit le chef, s'il voulait vraiment la savoir en sécurité , il aurait peut être fallut qu'il se bouge les fesses. C'est pas comme ça que l'on garde un œil sur sa copine. Surtout quand elle est enceinte. Alors si vous voulez bien m'excuser, nous avons un vole prévu nous.

Et nous nous éloignons en rigolant.

IIL Maccini 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant