8. Cauchemar

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Nous marchions ensemble à travers des rues sombres et désertes quand soudain nous vîmes trois hommes.
Nous les rejoignons.
Tous cela me faisait paniquer.
Mon maître parla avec ces hommes qui semblaient tous aussi riches et détestable que lui.
Ne servant à rien, je me perdis dans mes pensées quand soudain, une main vint agripper mes fesses.
-Alors tu acceptes? Demanda l'un des hommes à mon maître.
-Oui c'est bon. Amusez-vous bien avec lui. Je reviendrais quand j'aurais finis mon affaire.
Sur ces mots, mon maître me laissa avec ces trois types.
Quand il fut partis, les hommes me scrutèrent avec des sourires malsains.
-Alors mon joli, tu vas te laisser faire hein?
Oh non...pas ça pitié...
En quelques secondes, se me retrouvai par terre, la chemise grande ouverte.
L'un des hommes me tenait fermement les poignets.
Les deux autres se penchèrent sur moi et me retirèrent mon pantalon.
Ils me mirent un tissu dans la bouche pour que je ne puisse pas crier puis ils finirent par enlever mon boxer.
Ce qui suivit fut un enfer.
Chaque homme me viola chacun son tour avec violence.
Ils adoraient me voir souffrir et essayer de me débattre en vain.
Ils prirent un malin plaisir à taper de plus en plus fort contre ma prostate.
Malgrés que je soit un soumis, je ne jouïssai pas cette fois.
Je ne voulais pas leurs donner ce plaisir.
Cette scène dura des heures.
Des heures de pures souffrance pour moi.
J'allais m'évanouïr sous leurs coups quand un coup de feux raisonna.
Un des trois hommes tomba à terre et les deux autres prirent la fuite.
Moi, je ne bougeais pas. J'étais trop faible pour ça de toute manière.
J'entendis des pas s'approcher de moi.
Ayant peur de me faire encore tabasser, je fermai les yeux.
Quelqu'un se tenait debout à quelques centimètres de moi. Il devait sûrement m'observer.
Soudain, je sentis une main effleurer mon nez.
Est-ce que cet personne vérifiait-elle que j'étais en vie?
Et si oui, pourquoi?
Je gardais toutes ces questions de coté et attendis que quelque chose se passe.
Sa main vint se poser sur mon front.
Je sentis alors un sentiment bizarre entrer en moi.
Un mélange entre de l'affection, de la sûretée et...de l'amour?
Je ne pouvais tout de même pas tomber amoureux d'un inconnu que je viens juste de recontrer et que je ne vois même pas.
La personne me remit mes habits puis me porta t'en bien que mal.
Je me laissai faire, me reposant sur ces épaules, enfin rassuré.
C'était la première fois que je me sentais en sécuritée dans les bras de quelqu'un.
Mais qui pouvait bien être cette personne?
Était-elle aussi un de ces hommes riches qui allait en faite également abuser de moi?
Affaiblis par tous ce qui venait d'arriver et me sentant bien, je m'endormis contre cette personne qui m'avait sauvé la vie.

Une vie de chienOù les histoires vivent. Découvrez maintenant