5. Traumatisme

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Je sentis 3 de ces doigts entrer en moi sans précotion.
Il fit des va-et-viens en moi en s'appuyant sur mon bassin de son autre main.
Quand il pensa que cela suffisait, il retira ces doigts et se plaça devant mon entrer.
Je voulais hurler, le supplier de me relâcher mais c'étais trop tard.
Il entra si violement en moi qu'un cri de douleur m'échappa.
Ces va-et-viens, bien qu'ils ne soient pas encore violents, me faisais terriblement mal.
Je pleurais à m'en faire mal au crâne.
Il calma le rythme le temps que je reprenne mon souffle.
Quand mes larmes s'estompèrent, il recommença.
J'avais moins mal mais je ne l'aimais pas et j'étais toujours aussi tendus.
Malgrés moi, je finis par gémir sous ces coups qui attégnirent ma prostate.
C'était l'un de mes problèmes de soumis.
-...ah...m-maître...je...je...ah...
Je sentis sa main prendre mon...enfin vous savez quoi...dans sa main est faire des va-et-viens de plus en plus rapide avec.
Soudain, je jouïs dans sa main et lui en moi.
Un frison me parcouru tout le corps.
J'ai détesté faire ça, je le détestais lui. Je détestais ce qu'il m'avait fait et je me détestais à présent.
À ce moment, je voulais mourir. Peu importe comment.
Je me sentais mal. Très mal.
Mon maître, ce connard, se retira enfin de moi et me tapota les fesses comme pour me récompenser.
De quoi? De m'être laissé violé?
Comme si j'avais eus le choix.

Je ne pouvais plus bouger tellement j'avais mal.
Il finit enfin par me détacher les mains.
Je ne pouvais rien faire, je n'avais plus de force.
Je respirais difficilement.
-Tu vas t'y faire à force.
Non je ne vais pas m'y faire. Je ne veux pas m'y faire.
-Maintenant réhabilles-toi et va dans ta chambre. Tu mangeras là-bas se soir.
Il me fallut une bonne dixaine de minutes pour le faire.
Je tremblais en rentrant dans ma chambre.
Quand j'y suis enfin, je me laissais tomber sur le lit.
Je ne pouvais plus pleurer car je l'avais déjà bien trop fait. Je n'avais plus une seule larme en moi.

Un peu plus tard, mon repas se retrouvait posé sur le petit bureau de ma chambre.
Je devint alors fou. Je pris le couteau qu'il y avait dessus et le retourna contre moi...

En me réveillant, je vis 2 silhouettes au dessus de ma tête.
Mon maître et un domestique.
Merde! J'aurai tellement voulu que tous cela ne soit qu'un rêve.
Où que je meurs pendant la nuit.
Je ne voulais pas le regarder.
-Bandez-lui ces bras et interdisez lui tout objets trachants désormais.
-Oui maître.
Oh non...je venais de gacher ma seule chance de fuir cet enfer.
J'entendis d'autres personnes arriver.
Ils me soulevèrent en me prenant par les aisselles et m'emmenèrent dans une autre pièce.

Je me suis donc retrouvé les bras sous des couches de bandages et la joue rouge à cause de la claque monumental que je m'étais prise.

Une vie de chienOù les histoires vivent. Découvrez maintenant