12. Secret

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-Pourquoi?
-Parce que. Je les détestent. Ce sont des monstres.
-Mais c'est tes parents, comment tu peux dire ça d'eux?
-Tu ne sais pas ce qu'ils ont fait.
-...au moins toi tu as eus une mère et un père...
Soudain, Derek me sauta dessus et me plaqua à terre en me prenant par le cou.
-NE PARLE PLUS JAMAIS DE MON PÈRE!!!!!
Sa prise se resserra autour de mon cou et il c'était assis sur mon bassin.
-...je....ah...dé..so..lé....
Je commençais à manquer de souffle.
Ma tête tournait.
J'étais sur le point de m'évanouïr quand Derek sembla revenir à lui.
Il lâcha enfin sa prise et je pus prendre une grande bouffée d'aire frais.
Mon corps tremblait et je n'osais pas bouger.
-Cameron...je suis désolé...ça va?
Je ne pouvais pas lui répondre.
Je n'arrivais pas à respirer normalement.
Derek me secoua par les épaules.
-Cameron? Cameron?!
-.....à...l'aide....
Ma vision devint floue.
Je m'évanouïe.

Quand je rouvris les yeux, il faisait nuit noire.
Derek m'avait allongé sur le coté et était maintenant assis à coté de moi.
J'avais encore mal à la tête et je me sentais fatigué.
Je m'assis tant bien que mal.
-Ah, tu es enfin réveillé. Dit-il, l'aire soulagé mais aussi coupable.
-...oui.
-Tu arrives mieux à respirer?
-Un peu...
Un silence s'installa entre nous.
Chacun évitait l'autre du regard.
Mes yeux se posèrent alors sur la bouteille d'aclool à moitié vide.
Derek avait dus en boire pendant que j'étais inconscient.
-Désolé d'avoir parlé de ça. Je ne voulais pas te mettre en colère.
-Tu ne l'as pas fait exprès et je ne t'en veux pas.
-...d'accord.
Son regard semblait contempler tout mon corps.
Cela me fit rougir.
Je remarqua que son regard se stoppa au niveau de mon entre-jambes...
Oh non.
-En tout cas, merci d'avoir pris soin de moi.
-Tu es mignon.
-Je...quoi? Dis-je, un peu perdu.
-C'est vrai.
-Derek, tu es sûr que ça va? Tu as l'air bizarre.
-Oui je vais très bien, t'inquiète pas.
-Euh...ah bon, si tu le dis.
Derek se rapprocha de moi.
Nos visages étaient seulement à quelques centimètres l'un de l'autre.
-Derek, qu'est-ce que tu faits là?
-Taits-toi.
Soudain, il colla son visage au miens et m'embrassa.
Je gémis légèremnt car je n'avais jamais embrassé personne avant.
Nos langues se croisèrent puis, sans m'en rendre compte, je me retrouvai allongé par terre, lui à quattre pattes au dessus de moi.
Mon menbre tressauta dans mon boxer. J'avais chaud.
-...derek....Dis-je en reprenant mon souffle.
-Chut Cameron. Laisse-toi faire.
-...je...oui....
-C'est bien.

Une vie de chienOù les histoires vivent. Découvrez maintenant