6. Punition

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Mon maître me demanda à me voir vers le début de l'après-midi dans son bureau.
Je mis rendis en tremblant et avec une grande appréhension.
Que me voulait-il encore?

Je toqua à la porte et j'entendis sa voix qui me disait d'entrer.
Je le fis et me dirigea vers son bureau.
Je restai planté debout fâce à lui, la tête baissé.
-Tu vas être punis pour avoir essayé de te couper les veines. Un soumis ne dois jamais fuir son maître. Dit-il en se levant.
Punis?! Comment? Et puis je n'est jamais voulu qu'il soit mon maître, c'est normale que je veuille m'enffuir.
Ce connard ouvrit un des tiroirs de son bureau et en sortit une longue corde et un martinet...
À ce moment je voulus m'enfuir, mais ce type m'attrappa par le bras, comme si il avait lus dans mon esprit.
Je le regardais, l'air horrifié.
Lui me renvoyais un sourire sadique.
Il prit la chaise qui se trouvait en fâce de son bureau et la posa à coté de moi.
-Retourne-toi. M'ordonna-t-il.
J'ouvris la bouche mais aucun son n'en sortit.
Perdant alors patience, il me mis à genoux devant la chaise et m'attacha les bras dans le dos.
Puis, il me força à m'allonger sur le ventre contre la chaise.
Une nouvelle fois, il me baissa le pantalon et le calçon.
J'essayai de me débattre mais sa main appuyait sur mon dos et me faisait mal.
Soudain le premier coup tomba.
Je me mis alors à hurler.
La douleur était horrible.
Ce sadique continua de me frapper de plus en plus fort, se nourissant de mes cris de douleurs et de détresse.

Lorsqu'il vit que je ne réagissais plus à ces coups, il s'arrêta enfin.
Je ne pouvais plus rien dire, j'avais bien trop crié.
-Cela te servira de leçon à l'avenir.
Je l'entendis aller à son bureau et y prendre quelque chose.
Il me mit assit sur les genoux en me tirant par les cheveux et m'attacha un large collier de cuir noir autour du cou.
Ce collier avait une boucle à l'avant, sûrement pour y attaché une laisse.
-En aucun cas tu doit enlever ce collier. Compris?
-O..oui...maître...
-Bon chien. Me dit-il en me carressant les cheveux et en me souriant.
Il me déttacha enfin les bras que je ramena de suite vers moi en me les massant.
Il me regardais avec un air satisfait pendant que je me réhabillais.
Quand je finis, il alla me dire quelque chose quand son téléphone sonna.
D'un geste de la main, il me dit de quitter la pièce, ce que je fis aussitôt.
Je l'entendis parler avec un autre homme à travers la porte qui était restée entre-ouverte.
-"....une affaire dis-tu....combien?....quand est-ce que tu veux que je vienne?...très bien, à dans 1 semaine alors..."
Quand je l'entendis raccrocher, je courrus dans ma chambre pour ne pas me faire prendre à écouter aux portes.
Alors comme ça il allait partir dans 1 semaine.
Miracle!
Je vais peut-être enfin pouvoir m'enfuir d'ici alors.

Une vie de chienOù les histoires vivent. Découvrez maintenant