Chapter 8

21.1K 1.5K 231
                                        

●Vu qu'hier, je n'ai pas publié, voici le chapitre d'aujourd'hui. Bisou et bonne lecture





- Comment ça au Mexique ? Demanda Célia confuse

- J'ai des affaires à régler.

- Vous plaisantez, j'espère?? Demanda-t-elle en se levant pour s'assurer qu'il plaisantait.

Elle alla se mettre au balcon et au lieu du jardin et de la belle vue sur la piscine de la maison de son patron, elle vit des personnes étrangères dans une grande et immense piscine et les environs n'avaient rien à voir avec la Russie.

- Je suis en train de rêver. Je vais m'endormir et tout va revenir à la normale... murmura-t-elle en regagnant son lit, avant de voir son patron assis à la regarder sans broncher.

Vu que c'est un rêve, je peux bien faire ce que je veux n'est-ce pas...??

Et sur ce constat, Célia vint à son patron et lui embrassa la joue, avant de poser ses lèvres sur les siennes pour un chaste baiser.

- Allez opla, je m'endors et toi, je ne te revois plus... dit-elle toute sourire d'avoir embrassé son patron dans ce qu'elle croyait être un rêve.

Elle se remit sous ses draps alors que Dwaine n'arrivait même plus à bouger, avant qu'un sourire ne se dessine sur sa tête.

J'imagine sa tête quand elle saura qu'elle ne rêve pas.

Après un sourire moqueur, il la laissa se reposer pour aller déjeuner, car il avait commandé pour deux mais là, elle avait tout mangé donc, il devrait passer commande s'il voulait manger

Il aurait bien aimé que ce soit-elle qui lui prépare sa nourriture... Admit-il. Il aimait toutes ses épices dans ses repas... mais bon, elle semblait vraiment à l'ouest.

Deux heures plus tard, Célia se réveilla toutes sourire avant d'ouvrir les yeux, pour tomber sur cette chambre

Encore.

Ne me dite pas que je ne rêve pas... non... Non...

Elle se leva d'un coup et tout était pareil. Aussitôt tous ses faits et gestes lui revint. Il lui avait donné à manger et...

- Je l'ai embrassé... Seigneur ! Je l'ai embrassé?!!! S'exclama-t-elle toute honteuse, avant de passer une main nerveuse dans ses cheveux

Du calme du calme... Lui aussi me doit une explication. Je n'ai aucun souvenir me renvoyant comment je suis arrivée ici...

Elle s'avança calmement près de cette porte qui lui était inconnue et ouvrit légèrement. Son cœur battait à mille à l'heure, alors que ses yeux semblaient chercher la moindre présence, mais il n'y avait rien.

Pire, ils étaient réellement ailleurs, parce que la déco ici n'était pas celle de la maison et au fond, elle pouvait voir deux chambres, mais elle préféra prendre à gauche, vu la lumière qui filtrait, ça devrait sûrement donner sur le salon... se disait-elle.



Ce fut le cœur battant, qu'elle se dirigea vers ce qu'elle croyait et espérait être le salon.

Deux minutes plus tard, elle tomba nez à nez avec une baie vitrée si éclairée et grande, qu'elle s'empressa d'aller voir ce que ça donnait de près.

- Wow... dit-elle prise de vertige.

C'était plus que beau. Elle avait une vue imprenable sur l'extérieur et vu la vue, ils étaient sûrement à, au moins une centaine de mètres du sol, constata-t-elle ébahie et en même temps étourdie, parce que ces baies rendaient la vue si réelle qu'on avait l'impression de pouvoir tomber si on ne faisait pas attention et le simple fait de remarquer cela, la fit reculer d'un coup, avant qu'elle ne rencontre quelque chose de dur juste derrière elle.

C'était lui... Comprit-elle et instantanément, sa belle peau fût remplie de chair de poule, alors que tout son corps était maintenant en éveille, à cause de leur proximité

Elle se retourna lentement, les lèvres pincées et leva la tête pour mieux le voir, car il était bien plus que grand, son patron.

On aurait dit un géant. Un beau et sexy géant...

- Mhmh... se racla Dwaine en réprimant un sourire, alors que celle en face de lui était maintenant toute rouge, sûrement honteuse de s'être faite prendre en train de le manger du regard

- Où sommes-nous ? Redemanda Célia honteuse, mais toutefois inquiète

- Au Mexique, je vous l'ai déjà dit.

- Mais comment ça se fait ? Je ne me rappelle rien ! Même pas avoir fait des affaires ! Rien !

- Parce que vous n'étiez pas consciente

- Hm??

- J'ai mis des somnifères dans votre plat et après que vous soyez profondément sonnée, nous sommes venus... repondit simplement Dwaine sans gêne en allant s'asseoir

- Non mais vous êtes un malade vous ! S'exclama-t-elle maintenant énervée.
Ça ne se fait pas ! Imaginez si quelque chose m'était arrivé !

- Rien ne vous est arrivé donc, fermez là et détendez vous

- Jure, vous êtes un psychopathe, je ne veux pas avoir affaire à vous ! J'ai une vie moi ! Mentit-elle

Non mais j'ai une vie t'es malade

- Cessez de faire l'idiote car tel que j'ai été capable de mettre des somnifères dans votre plat sans que vous vous en rendiez compte, je pourrai très bien vous tuer ainsi. Siffla Dwaine calmement, ce qui frigorifia Célia qui ressenti cette froideur et cette panique monter.


Elle accourut vers ce qui semblait être la porte de sortie, alors que Dwaine la regardait sans dire mot

Elle ouvrit et sans regarder, se prit les balais et les pelles en pleine figure ce qui provoqua le rire de gorge de Dwaine qui se leva pour l'aider, mais le voyant arriver alors qu'elle avait mal partout, elle saisissa un balai pour le braquer contre lui.

- Ne vous approchez pas de moi au risque d'avoir ça où je pense

- Whaou quelle classe... dit Dwaine, pince-sans-rire, alors qu'elle tremblait comme feuille. Je veux vous aider, rien de plus.

- Je ne vous ai rien demandé ! S'exclama-t-elle



- Okay okay... dit-il en levant ses mains pour mieux se retourner, quand il reçut un coup de balai sur la tête qui se brisa sous le regard ébahi de Célia, qui était maintenant dans de beau drap

- Tu es censé t'évanouir, pas casser le balai !

- Jure t'es conne ou tu fais exprès

LE MEXICAIN Où les histoires vivent. Découvrez maintenant