- Célia, veux-tu être ma femme ?
Le cœur battant comme jamais avant, elle ne pouvait en placer une et les larmes dévalaient ses joues sans permission
- Ce n'est pas possible non. Je rêve... Dwaine, cela fait à peine
- Je sais que cela fait tout juste un mois qu'on a eu une intimité et deux semaines qu'on est ici Célia, mais je ne me trompe jamais... Du moins très rarement et tu ne peux pas nier qu'il y a une attraction entre nous deux. Je ne veux pas attendre Célia, je veux officialiser maintenant notre relation et ne plus jamais te voir triste. Passer mon temps à prendre soin de toi, à enlever tes peines et tes tristesses, supporter ton côté rebelle qui me plaît tant et te donner tout de moi. Ça ne sera pas facile, mais je ferai tout mon possible pour que tu sois heureuse. Je ferai tout parce que toi, toi, tu n'as jamais eût des yeux sur mon portefeuille et n'a jamais cherché à savoir plus sur moi. Tu as aimé Dwaine... pas monsieur VOLOD. Tu as toujours été si pure, naturelle, sans artifice, sans fausseté en toi. Alors, je te redemande chérie...
Veux tu passer le reste de ma vie avec toi ?
Euh... je veux dire... veux-tu passer le reste de ta vie avec moi ?- Oui... oui... dit Célia dans un sourire, tandis que ses larmes dévalaient encore plus, ses joues
C'est avec fierté qu'il plaça cette bague, avant qu'ils ne s'embrassent cette fois, comme vraiment libre. Libre de tout, car ils s'étaient liés
Il la souleva jusqu'à la maison en l'embrassant toujours, mais plus fougueusement et atteignit sa chambre en une vitesse éclaire
Il referma gentillement la porte, avant de la plaquer contre celle-ci
Ils s'embrassaient tous les deux comme si leurs vies en dépendaient, retirant leurs vêtements à la hâte
Elle sentait ses mains partout sur elle, la caressant
Il la conduisait maintenant de leur corps nu, à leur lit.
Il s'était réfugié dans son cou pour lui laisser le temps de reprendre son souffle et elle, avait les mains perdues dans ses beaux cheveux.
Elle put sentir son dos sur ce doux lit, avant de le sentir au-dessus d'elle
Ils se regardaient amoureusement et comme compris, se souriaient pendant un petit moment. Tous deux nus, avaient ce lien visuel que personne ne pouvait rompre en ce moment précis
- Tu es si belle... murmura-t-il près de ses lèvres, la voyant rougir dans un sourire coquin.
Il commença à balader ses mains sur son corps, de ses belles lèvres à sa poitrine, traçant une ligne invisible. Elle se cambrait un peu plus à chaque parcours atteint par lui, qui se dirigeait peu à peu vers son entrejambe
Le corps chaud, les contractions se faisant plus violentes et douces, les lèvres pincées et les tétons dressés, elle sentait ses mains descendre à son entrejambe, avant de sentir l'air conditionné frapper fortement sur leurs deux corps, ce qui lui fit du bien parce que là, sa température était élevée et le seul responsable était entre ses jambes à la toucher comme il savait le faire.
- Il faut dire qu'il faisait un peu trop chaud par ici... se justifia Dwaine en répondant à Célia qui lui répondit simplement par un sourire les yeux fermés, attendant sûrement le top départ.
Cet instant où il touchera sa chair et la fera sienne, mais jusque-là, il était sur son bas ventre à la caresser, provoquant encore plus les contractions dans son ventre.
- Regarde-moi... lui dit-il.
Ce n'était pas une demande et son corps même n'en avait que faire, du moment que c'était lui, il pouvait tout.
C'est avec désir et languissement qu'elle ouvrit ses magnifiques yeux pour lui permettre de tomber sur cet océan vert qu'il aimait tant et comme ci c'était le top départ, il la pénétra de son indexe.
Elle était si trempée qu'il en était même honorée, au summum de sa fierté, car c'était lui, qui provoquait cela...
Célia ne s'y attendant pas, lâcha un soupir de plaisir, mélangé à un doux gémissement, qui put parvenir aux oreilles de Dwaine pour son plus grand bonheur.
Même si son érection était douloureuse, elle était sa femme maintenant donc, cette nuit devait être la plus belle et la plus inoubliable pour tous les deux.
C'est donc sur cette décision que sans rompre le lien visuel, il retira son indexe de cette douce chaire rose pour le porter à sa bouche.
Le regardant faire, elle lâcha un gémissement en refermant ses jambes tant l'image était excitante. Léchant son indexe imbibé de son doux miel produit par cette chaire, il ouvrit ses cuisses fermées et y passa un regard affamé avant de revenir à elle.
Il la regardait comme un lion affamé face à sa nourriture préférée et elle aimait ça
Sans perdre de temps, il lui inséra et son indexe et son majeur et eût un gémissement de Célia qui avait les joues roses maintenant et le front perlé de sueur, malgré l'état maximum de l'air conditionné.
Il commença donc des doux va et vient entraîner par les roulements de hanche de Célia qui ne savait plus où donner de la tête, tant ses émotions sortaient de partout.
La sentant venir grâce à ses contractions et à ses gémissements qui augmentaient peu à peu, il accéléra de ses deux doigts en elle, ses gestes, et en moins de temps qu'il fallut, elle atteignit l'orgasme.
Le souffle rapide, le cœur battant à un rythme rapide, il la faisait descendre tout doucement de son orgasme en l'embrassant légèrement avec des mots doux tout près de ses lèvres, qui la faisaient rougir comme sur commande.
Revenue à elle, il l'embrassa chaudement avant de redescendre avec ses lèvres comme pour la prévenir que le travail se fera cette fois avec celle-ci et elle comprit
Il prit ses seins en bouche et les honora comme il savait le faire, tandis que les contractions dans le ventre de Célia remplissaient son corps de chair de poule, dégageant en même temps une chaleur aux creux de son intimité que même la forte température ambiante dans la pièce ne pouvait éteindre. Seule lui... pouvait le faire et c'est bien ce qu'il fit en posant ses lèvres juste au creux de son intimité
Elle lâcha un râle typiquement féminin qui le fit sourire plus bas, avant qu'il ne se serve de sa langue après avoir baisé chaque partie de ses belles lèvres.
Donnant des coups de langues précises, et la titillant de la plus douce des manières avec lenteur, il l'entendait gémir à tue-tête, ce qui lui fit plaisir
Il lui fit atteindre l'orgasme, mais cette fois, elle poussa un cri assez féminin, signe qu'elle y était et c'en fut de trop pour Dwaine, qui la pénétra cette fois pas de sa langue ni de son doigt, mais de son membre, l'entendant soupirer d'aise et de plaisir.
Elle profitait de chaque millimètre qu'il traversait de son membre en elle, avant de la remplir complètement.
A partir de cet instant, s'ensuivit des coups de rein et des roulements de hanche, enrobé de gémissements et de râle toute la nuit pour se terminer par un, je t'aime de l'un et, je t'aime encore plus, de l'autre.
C'était la première fois qu'ils se le disaient et certainement pas la dernière.
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LE MEXICAIN
Lãng mạnLui, l'homme le plus redouté de la mafia russe, surtout du Mexique, contrôlant tous les cartels du territoire sans jamais être connue. Personne ne savait à quoi il ressemblait et c'était bien cela le mystère autour de lui. Elle, jeune orpheline ch...