Chapitre 8

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[Après avoir parcouru les couloirs vides, nous arrivons devant la porte de notre salle, elle était fermé mais on pouvait distinguer quelques paroles du prof...

M: On pourrait toujours partir... ]

J'hésita une seconde.

V: Et puis merde !

Je pris la main de Maxime et commença à marcher rapidement...

Nous rigolons jusqu'à arriver aux toilettes. Je me tourna pris le visage de Maxime entre mes mains puis l'embrassa, il posa ses mains sur ma taille.

M: Val, regarde là bas.

Il me pointa le portail, qui était ouvert.

V: C'est bizzare, d'habitude il est toujours fermé...

M: C'est le destin.

Il me lança un regard furtif et m'attrapa la main. Je le suivis jusqu'à arriver au portail.

V: T'es sûr qu'on doit le faire ?

M: Allez viens ! On s'en tape ! Juste une fois... S'il te plait.

Je le regarda.

V: Bon juste une fois alors...

Il rigola et traversa le portail, je le suivis.
On s'arrêta dans un parc, pas loin du lycée...

M: Faut juste surveiller l'heure, je prend le bus à 17h moi

V: T'inquiète pas, il est à peine 15h30...

Nous nous installons derrière un arbre, il s'asseya en face de moi.

Pendant trois quart d'heure, nous parlons de tout et rien... Variant sur des petits mots doux...

Ses yeux brillants me regardaient.

V: Arrête de me regarder comme sa...

Dis-je extrêmement géné.

M: Je te regarde comment ?

V: Je sais pas, comme si j'étais tout pour toi...

M: C'est juste que je t'aime...

Ses mots me fit rougir, il s'approcha de moi pour m'embrasser.

À fur et à mesure de nos baisers fougeux, il se retrouva sur moi... On continua de s'embrasser, nos langues dansaient, nos corps se cambraient.

Mon entre-jambe commençait à se chauffer... Maxime passa sa main sous mon t-shirt, se baladant sur mon torse.

Puis il descendit sa main... Il la glissa sur ma partie intime au dessus de mon jeans, je laissa échapper un petit gémissement, mes yeux fermés, je profitais de cette instant.

Le temps passait, essouflé par nos jeux, je m'allongea à côté de lui, et pris sa main pour sceller nos doigts.

M: Chou il est quel-...

Il s'arrêta net, en rougissant.

V: Tu m'as appelé comment là ?

Acceptez-moi ! [TERMINÉE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant