Les suicidaires en série

Genre tu ramasses ta merde avec tes mains?

Me revoilà pour vous jouer un mauvais tour~

La répartition des chambres fut un de mes plus gros cauchemars. Cette fois-ci, au lieu d'oublier Tachihara, ce fut Tanizaki qui eut cet honneur. Au moins, il est là.

D'ailleurs, je n'ai pas abandonné la fic, promis! En même temps, avec vingt chapitres qui sont en attentes et plus ou moins commencés, vaut mieux pas hein. C'est seulement que j'ai dû récrire celui-ci étant donné que ce que j'avais commencé à écrire ne me plaisait plus (ça datait d'il y a deux ans, alors tsé), donc j'ai essayé de faire au mieux avec ce que j'avais en tête. Cependant, ça signifie aussi que je vais devoir réécrire les prochains, environ deux ou trois chapitres je dirais, alors ça sera légèrement long à attendre, mais vous inquiétez pas, je vais le faire avec joie!

Mais si vous voulez la vraie raison, c'est que j'ai commencé à écouter Gilmore Girls pour la première fois (où étais-tu toute ma vie?) et ça a littéralement pris ma vie sociale depuis. J'ai donc tout lâché pour cette série (sans aucun regret, je précise). Sérieusement, comment je pouvais faire d'autres choses quand je devais ABSOLUMENT tout écouter sans m'arrêter? Je suis faible...

Édit de relecture: J'en suis à ma troisième écoute intense des sept saisons de Gilmore Girls. Ma vie sociale? Jamais vu.

Sur ce,

Bonne lecture!

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- Dites-moi que ce n'est pas l'auberge, supplia Kôyô à ses camarades.

- Si si, elle n'était pas chère, s'enthousiasma Mori en descendant du bus en premier.

- Je ne l'aurais jamais deviné, ironisa Yosano, ses bagages sur son dos.

- C'est moi ou on dirait plus une taverne qu'autre chose? réfléchit Dazai, la tête penchée sur le côté pour essayer de lire le nom de cette "chose". La Guilde... Drôle de nom pour une auberge.

- Ahhhh, je sens que cette sortie sera amazing! s'écria le professeur Francis avec son accent étranger habituel.

- Elle est dégueulasse, constata Chuuya, une grimace déformant ses traits face à la vue de l'horrible endroit qu'il serait obligé de fréquenter pour la fin de semaine. Dazai, tu as bien amené nos draps hein? Je ne dors pas sur les leurs.

- Affirmatif!

- La chance..., murmura Gin.