Chapitre 3 : Banshee

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-Stemon !?Mais tu était où Bordel !?, lui ai-je dis en le serrant dansmes bras, et c'est quoi ces habiles?!

-Jesuis désolé de t'avoir fait peur, et ne t'en fais pas ce n'est pasune vraie arme juste un jouet trouver dehors.

-Tuétait où tout ce temps ?!

-J'étaisparti de base pour voir les ondes qu'il y avait par là, ellesétaient étranges...On aurait dit des sentiments.

-Qu'ellesgenre de sentiments ?, ai-je demandé.

-Commede la joie, de la tristesse, et de la colère.

-Tusais d'où cela provenait ?

-Nonet j'ai cherché, mais...Je n'est trouvé que des chasseurs fous

-Deschasseurs fous !? Dis-moi ce qui c'est passer !

-Nonrien d'important.

-Stemondis-moi ! Tu es parti comme ça et tu ne m'expliques pas commeil faut ! Je ne te comprend plus ! Mais bon me dis rien !Moi j'en ai marre d 'essayer de te faire sortir les mots dunez ! Tu n'as donc pas confiance en moi...

J'aicommencé à partir en étant en colère, il me rattrapa par le braset me dis : « Je vais tout te dire, écoutes-moi. Je suisdésolé j'ai été capturer par des sortes de chasseurs bizarres carils m'ont vu me transformer. L'hiver qui était là avec lestempératures glacial, ils m'ont emmené loin en hauteur à Tignes. dans une cabane en pierre, sans isolation puis ils m'ont enchaînéet museler comme un vulgaire animal, je devais être à plus de deuxmilles mètres d'altitudes. J'avais tellement froid avec le peud'habile sur moi. Lorsque l'un est venu me tabasser pour voir marésistance corporel, j'ai réussi à prendre les clefs dans sapoche. Quelques heures plus tard je me suis détaché et j'ai prit lafuite. J'avais des bleus de partout j'ai couru, dans deux mètres deneige environ, avec comme seuls vêtements : mon petit tee-shirtet mon pantalon,avec une température dans les moins vingt degrés.En descendant comme une fusée pour échapper aux « chasseurs »quelques heures plus tard je tomba sur un rocher, il me brisa l'os dugenoux en faisant une grosse ouverture. J'atterris dans un petitvillage où une dame m'a m'accueillit, ma loger, blanchit etnourrit pendant un bon mois, jusqu'à la fin de février. Sans abuséde sa gentillesse je suis donc parti en m'habillant chaudement pourla longue descente, bien sur avant de partir je l'ai remercié detout cœur.

C'estensuite que j'ai trouvé l'arme en plastique à terre, que j'airamassé pour ne pas faire de pollution et que je suis rentré cheztoi. »

Jelui fis un câlin pour montrer mon empathie et pour le réconforter.

Quelquesmois se sont écoulé, je lui ai expliqué ma rencontre avec Fabienet nous avons repris notre petit train train dans le lycée. Stemon apu rattraper les cours manquer et moi j'ai continué les cours.

Ledeuxième trimestre était passé nos moyennes avaient augmenté detrois point. A vrai dire les professeurs ne regardaient même pas lesnotes mais les compétences pour nous évaluer lors du nouveau bac-alors que nous on s'embête à avoir de bonnes notes, eux regardentles compétences que l'on ne pouvait pas voir ou apercevoir, pournous s'étaient des résultats genre imaginaires-. Le nouveau bac,premièrement il consistait à savoir ce qu'on voulait faire,deuxièmement retiré les matières que nous aurions pas besoin -pourplus de sécurité j'avais demandé des conseils à la damed'orientation- et il faudrait les travailler pour plus tard êtrenoter que sur les matières choisis pour notre futur travail.

Leprintemps arriva -d'ailleurs, c'est ma saison préférée-, car lachaleur humide mi chaud mi froid était là, les arbres avec leurcouleur verte ou les petits buissons avec des couleurs comme le rosepâle ou rouge et les fleurs qui commençaient à revivre enremontrant leur couleur perdu dans leur sommeil profond. Les arbreschangeaient de couleur, en passant du marron mort à du beau marronjoyeux et vivant. Les tulipes ressortaient différentes couleursselon les espèces le jaune, le rose, le rouge, le orange, le blancect étaient présentes, tout comme le jaune des pissenlits et desbouton d'or. Le bouton d'or est une fleur avec qui on pose unequestion, grâce à la fleur on peut savoir si cela est vraie, « Tuaimes le beurre ? On va voir ça » puis on place la fleursous le menton. Avec les différentes nuances on peut donc savoir. Cen'est pas prouvé scientifiquement mais ce petit jeu est amusant.

L'Ange Noir Où les histoires vivent. Découvrez maintenant