𝑩𝒆𝒉𝒊𝒏𝒅 𝒚𝒐𝒖𝒓 𝒎𝒂𝒔𝒌 - 𝒌𝒂𝒈𝒆𝒉𝒊𝒏𝒂 [EN RÉÉCRITURE]

29.

Cela faisait maintenant six semaines que le rouquin était à l'hôpital, et il connaissait déjà presque tout le personnels de son étage. Il avait une psychologue qui venait le voir tout les deux jours, il détestait parler avec elle, elle ne faisait qu'hocher la tête à chaque fois qu'il parlait et ne lui disait jamais rien, elle notait juste sur un papier et disait sans cesse "je vois, continu". À vrai dire, l'adolescent la détestait et savait exactement quoi lui dire pour qu'il n'ai pas à la revoir une fois sa sortie de l'hôpital. C'était bien sûr hors de question d'être suivie par une "psychologue" pareil, de toute façon, cela ne servait à rien, puisqu'il ne disait pas grand chose sur ce qui lui était arriver, et même les agents de police ne savait pas grand chose de ses différents traumatismes, la seule chose dont ils étaient au courant était le nombre de personnes qui l'avait agresser dans la ruelle, d'un semblant d'origine, sachant seulement qu'ils étaient étranger, et qu'ils l'avaient frapper pendants plus d'une semaine au même endroit. Pour ce qui est de son père, ils n'ont que très peu d'information sur ce qu'il avait pu lui faire, mais le roux avait tout de même parler de certaines agression avant l'accident qui avait causé sa "mort". En plus de cela le feinteur connaissait ses droits civils et savait qu'à partir de ses quinze ans, son dossier pouvait rester sous son entière responsabilité, et resté privé qu'à ses yeux et aux yeux de la gendarmerie, ne voulant pas laisser le droit à sa mère de savoir le peu des informations données. Cela risquerait de la mener elle aussi en dépression, et le petit voulait la protéger de cette foutue maladie dont il avait tant de mal à échapper.

Psychologue- Comment te sent tu aujourd'hui ?

H- Bien, j'ai un peu mal aux côtes mais ça va déjà beaucoup mieux

Psy- Très bien, et mentalement ? J'ai lu dans ton dossier médical que tu faisais toujours de très grosse terreurs nocture, t'entrainant à des crises d'anxiété et d'angoisse assez violente, est ce que tu pourrais expliquer l'élément déclencheur ?

Le petit ne bougeais pas, son regard était perdu dans un coin de la pièce, en six semaine ici, sa psychologue ne lui avait pas posée énormément de question, et il ne s'attendait pas à celle-ci. La psychologue attendait la réponse, voyant la surprise de l'adolescent devant lui, qui se racla la gorge au bout d'une minute.

H- C'est à quel heure les visites d'aujourd'hui ?

La psychologue roula des yeux, à chaque questions de ce genre, le roux faisait mine de ne rien entendre et tournait toujours la conversation à son avantage, mais la psychologue n'allait pas ce faire avoir comme ça.

Psy- Tu n'a pas répondu à ma question

H- Vous non plus

La psy ouvrit son dossier et regardait les visites du rouquin, son petit ami accompagné de ses parents venaient le voir deux fois par semaines, et la mère du roux venait avec sa fille presque tout les deux jours, pour le noiraud, cela devenait de plus en plus dur, voir son petit ami à l'hôpital était assez fatiguant, la route était toujours longue d'attente et d'impatience et il ne pouvait pas le voir plus d'une heure. Mais le fait de pouvoir le voir ne fait que le soulagé, même s'il remarque l'état de son petit ami, qui n'a pas l'air d'aller si mieux que ça, et le fait qu'il ne lui dise rien en rapport avec son accident l'énerve, certes son petit ami est traumatisé, mais il pourrait au moins lui dire ce qu'il c'est passer, ou au moins à sa mère. La psy referma le dossier, et regardait son patient en face d'elle.

Psy- Mikuya et Natsu Hinata ainsi que Kageyama Tobio viennent te voir aujourd'hui de seize heure à dix sept heure.

H- Ho ? Il vient avec ma mère et ma soeur aujourd'hui ?

Psy- Apparemment oui, ses parents doivent travailler

H- Ha oui je suis bête il m'a dit la dernière fois que ses parents n'allaient plus trop pouvoir l'emmener car leurs horaires c'étaient décalé, du coup il vient avec ma mère, trop mignon