Cauchemar noir

Valka et Astrid

PDV Valka

Nous volions avec Harold en direction de son île depuis déjà trois quarts d'heures quand, enfin, l'île apparue.
Nous nous posâmes au campement à la recherche d'Astrid.
Bingo ! Elle était la. Mon fils s'avança lentement vers elle et s'assit à côté d'elle.

- Harold ! Cria-t-elle en s'apercevant de sa présence. Elle le sera dans ses bras si fort qu'il grimaça de douleur.

- Eh, fais gaffe quand même. Faudrait pas que j'ai des côtes cassées moi aussi.

- Oh ! Pardon, mais où t'étais passé !

- Eh bien, à toi de jouer ! S'écria-t-il en me regardant droit dans les yeux.

Je m'avança à la lumière avec Jumper. Astrid étouffa un cris avec ses mains alors que ses yeux s'arrondissaient en passant de Jumper à moi.

- Je... Que.... Enfin...

- Bonjour, enfin bonsoir plutôt. Dis-je avec un sourire.

- Astrid, voici ma mère. S'empressa de dire Harold. Je l'ai retrouvé cet après-midi. Tu sais ? Désolé pour mon absence. Et ma mère dois s'excuser ! Finit-il en me faisant les gros yeux.

- Ah oui, alors Astrid, je m'excuse, tout à l'heure, je t'ai endormi par précaution.

Son visage passa de la surprise à la colère en deux secondes, et elle s'élança vers moi, prête à en découdre.
Heureusement, mon meilleur ami a écaille m'enveloppa dans ses ailes pour me protéger avant de gronder méchamment.
J'entendis la dragonne d'Astrid gronder contre Jumper.

- Jumper calme toi. Tout va bien se passer, ne t'inquiète pas. Elle est juste un peu énervée contre moi. Lui intimais-je.
Il me regarda comme si je prenait tous à la légère avant de déplier ses ailes.
Quand je sortie de la protection de mon dragon, je m'aperçue que mon fils retenait avec peine une Astrid encors plus enragée par son ami.

- Mais lâche moi !

- Astrid ! Elle a fait ça par précaution ! Tu aurais fait pareil à sa place.

-...... NON !

- Si ! Astrid, elle a fait ça pour le bien de milliers de dragons ! J'y suis allé chez elle. C'est incroyable, il y a même un dragon aussi long que vingt drakkars.
Elle a fait ça pour le bien de centaines et de centaines de vies Astrid. Alors moi je te le dis, parce qu'on sait tout les deux que j'ai raison, mais que toi, jamais tu ne voudra le reconnaître.
Tu aurais fais exactement pareil.

- Harold, elle a complètement raison d'être énervée. Je l'ai endormi sans son consentement. Rétorquais-je.

- Bon, on va dire que vous avez tort toute les deux. Dit-il avec un soupir de lassitude.

- Nous rigolâmes légèrement avant de nous plonger dans un silence malaisant.

- Bon, je vais chercher de quoi manger, je reviens bientôt. Déclara Harold en regardant durement Astrid.

- Alors comme ça tu vis avec Harold si je ne me trompe pas. Dis-je quand mon fils fut parti.

- Oui. Me répondit-elle sèchement. Et vous, vous êtes bien sa mère ? Ça voudrait dire qu'il est beurkien, comme moi ! Enfin nous s'empressa-t-elle de corriger.

Je souris d'amusement.

- Et vous, tous le monde à cru Stoïk quand il a dit que vous aviez était enlevée, mais en faite, vous avez....

- Fuis. Mais tu peux me tutoyer tu sais.

Je voyais bien qu'en réalité, Astrid n'était qu'en surface une dure. Peut-être une Hofferson avec ses cheveux blond et ses côtés buté, elle avait la personnalité d'une des leurs, où peut-être aussi une...
Je fis coupée dans mes pensées par Harold qui revenait.