Une histoire d'écriture.

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C'est moi que tu aimes oubien ma poésie?
J'avoue , je suis possédé par l'écriture
A chaque écrit, je suis une séance de cure
Immoral parfois , je le fais sans fantaisie

Si mes vers attristent, s'ils sont instructifs,
Sachez que c'est la finalité recherchée
Celle d'atteindre votre sensibilité
Au-delà de mon silence incompréhensif

Oh gens ! ne vous donnez pas trop de mal
La foi est toujours là, tout est sereinité
Oh gens ! ne vous donnez pas trop de mal
Mon histoire je la raconte sans ambiguïté

Ma personnalité a fait fuir certains
Ma poésie en a ramené plusieurs
Mais chez moi seule la folie est vraie

Le reste ce n'est que pure mensonge
Désolé , je suis en période de vidange

Descartes disait : « je pense donc je suis » , Grand corps malade lui : « j'écris donc je mens » et moi je leur dis : « Je cris donc j'écris ». Quand je m'énerve j'ai du mal à bien parler , quand j'ouvre la bouche , je cris sans le vouloir. Donc pour bien faire je garde le silence et pour te répondre j'écris. Si ce n'est que des mots et un stylo , j'assure. Pour ce qui est de la sincérité, approchez les , pour votre bien m'approchez pas. Une écrivaine dont j'oublie le Nom disait : « L'écriture contrairement a ce que croient les autres n'est pas une thérapie, elle ne guérit rien , rien du tout , mais c'est une revanche sur le destin». C'est bien beau tout ça mais chez moi elle est un peu de tout. Une glaive , une thérapie, une revanche sur le destin , une source d'évasion, moyen de communication pour ne citer que ceux là. L'histoire se répète , là c'est une question de "VIDANGE" aussi.

                   #Solitaire_Loco

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